- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources
Actualités
-
COVID-19 : l’Espagne interdit de fumer dans la rue - 15/08/2020
-
Marseille : 4 nouvelles plages sans tabac - 12/08/2020
-
Deux nouvelles plages sans tabac à Aix les bains - 07/08/2020
-
Londres : restriction de fumer en terrasse - 03/08/2020
-
Tabagisme ultra passif : ce danger invisible - 01/08/2020
-
Lacanau : interdit de fumer sur la plage - 02/06/2020
-
2 millions de fumeurs en moins en 4 ans - 02/06/2020
Les mesures antitabac améliorent la santé publique et les coûts liés aux soins
Les différentes stratégies de lutte contre le tabac améliorent rapidement la santé publique, tout en réduisant logiquement, les coûts liés aux soins. Dans un éditorial publié dans le Lancet, deux professeurs de l’Université de Californie à San Francisco, dressent un bilan positif des différents programmes mis en place à travers le monde.
« Un an après l’interdiction de fumer dans tous les lieux publics, le nombre d’admissions aux urgences pour infarctus du myocarde diminue en moyenne de 17% », explique le Pr Stanton Glantz. Tous les pays qui ont mis en place une telle politique ont obtenu ce type de résultats : Argentine, Angleterre, Canada, Ecosse, France, Irlande, Italie… Au bout de trois ans, la baisse est estimée à… 30% !
« L’élimination du tabagisme passif a des effets immédiats sur la santé respiratoire des barmen ». Mais pas seulement. Dans l’état de l’Arizona, un an après l’interdiction de fumer le nombre des admissions pour crises d’asthme a chuté de 22%. Après deux ans au Canada, cette diminution atteignait 33%. [...]
source : destination santé Lire l’intégralité de l’article