Actualités
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Tabac actualité n° 33 - 01/02/2003
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La cigarette de Paul Mc Cartney - 28/01/2003
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Industrie du tabac et changement de nom - 28/01/2003
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La fumée augmente le risque de déficits auditifs - 28/01/2003
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LA SUPÉRIORITÉ de l’IMAGE - 27/01/2003
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Le cannabis, un facteur d’échec du sevrage tabagique - 23/01/2003
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Dépendance et sevrage tabagique - 22/01/2003
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Clope interdite avant 16 ans ? - 22/01/2003
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Tromperie à propos des cigarettes non-inflamatoires - 20/01/2003
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Espagne et tabac - 20/01/2003
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Reemtsma accusé par une commissaire européenne - 18/01/2003
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Le tabagisme et les jeunes
Le quotidien gratuit, 20 Minutes, daté du 6 juin, publie un article du Dr Marc Shelly ( médecin à l’hôpital Fernand Widal et fondateur de l’association Armédia). Le médecin qui fait état des « résultats alarmants » d’une enquête de l’OFDT menée auprès des élèves des lycées et collège souligne que dès 14 ans 23% des collégiens fument, dont 10% quotidiennement et qu’à 18 ans 45 % fument tous les jours. Il indique que l’association Artmédia a mené pour sa part une « action recherche exploratoire » auprès de jeunes Parisiens et Franciliens de 13 à 30 ans sur leurs motivations à commencer, continuer et arrêter de fumer. Affirmant que filles et garçons ont des « motivations différentes » lors de leur entrée dans le tabagisme, il rapporte que par ordre décroissant les filles allument une cigarette quand elles sont « soucieuses », pour « se relaxer », quand elles sont « mal à l’aise », pour « avoir une contenance en public » ou « contrôler leur appétit » alors que fumer pour « s’occuper les mains » ou lorsqu’on a « pas le moral » est une motivation des deux sexes, et que fumer « pour s’occuper quand on s’ennuie » est plus une raison masculine.
Cette étude montre aussi que le tabagisme du ou de la meilleure amie « semble jouer un rôle clef » plus important que celui du tabagisme des parents, domaine dans lequel, pour l’adolescente, le tabagisme de la mère « paraît peser plus lourd que celui du père ». « Plus rassurant » toutefois, selon le Dr Shelly, la majorité des jeunes envisage d’arrêter de fumer et seuls 20% n’en ont pas l’intention d’où son appel aux professionnels à « répéter leurs interventions auprès de ce public cible ».