Actualités
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Tabac actualité n° 33 - 01/02/2003
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La cigarette de Paul Mc Cartney - 28/01/2003
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Industrie du tabac et changement de nom - 28/01/2003
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La fumée augmente le risque de déficits auditifs - 28/01/2003
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LA SUPÉRIORITÉ de l’IMAGE - 27/01/2003
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Le cannabis, un facteur d’échec du sevrage tabagique - 23/01/2003
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Dépendance et sevrage tabagique - 22/01/2003
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Clope interdite avant 16 ans ? - 22/01/2003
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Tromperie à propos des cigarettes non-inflamatoires - 20/01/2003
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Espagne et tabac - 20/01/2003
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Reemtsma accusé par une commissaire européenne - 18/01/2003
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La Loi Evin appliquée avec diplomatie dans la restauration
Dans le cadre de la Journée Mondiale Sans Tabac, l’AFP a mené une enquête sur l’application de la loi Evin dans les restaurants parisiens. Ainsi, selon l’agence France Presse, « les restaurants s’efforcent d’appliquer la loi avec diplomatie, en fonction de la géographie des lieux ». Le Jules vernes, restaurant situé au deuxième étage de la tour Eiffel prédit : « Peut-être que dans quelques années les restaurants seront entièrement non-fumeurs ». Certains ont déjà franchi le pas comme l’Atelier de Joël Robuchon. Ce dernier explique que cette décision a été prise dès le départ pour des raisons simples d’hygiène car la cuisine est ouverte sur la salle. « Ceux qui veulent fumer vont dehors mais dans l’ensemble, tout le monde est content, surtout les américains. » assure Joël Robuchon.
L’AFP a interrogé également un maître d’hôtel du Crillon, palace de la Concorde. Ici, le restaurant « les ambassadeurs » est situé dans l’ancienne salle de bal du XVII. « La salle est classée, impossible de la diviser en deux ! Nous séparons fumeurs et non-fumeurs, bien sûr. Les tables sont suffisamment espacées pour que personne ne soit gêné. On essaie quand même de convaincre les fumeurs de cigares d’aller dans le salon d’à côté a la fin de leur repas. » L’application de la loi Evin est évidemment plus facile dans les établissements possédant deux salles. L’AFP reprend l’exemple du Jules Vernes ou encore la brasserie « Au pied de Cochon », véritable institution des halles où places fumeurs et non-fumeurs sont à égalité. « Alors que dès l’origine, il y a 50 ans, nous avions 1/3 de notre clientèle non fumeurs et 2/3 fumeurs » indique un responsable. Aujourd’hui, « les non-fumeurs représentent 3/5 de notre clientèle. Les proportions varient cependant en fonction de l’heure de la journée. La nuit, les fumeurs sont plus nombreux.