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Tabac actualité n° 33 - 01/02/2003
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La cigarette de Paul Mc Cartney - 28/01/2003
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Industrie du tabac et changement de nom - 28/01/2003
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La fumée augmente le risque de déficits auditifs - 28/01/2003
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LA SUPÉRIORITÉ de l’IMAGE - 27/01/2003
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Le cannabis, un facteur d’échec du sevrage tabagique - 23/01/2003
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Dépendance et sevrage tabagique - 22/01/2003
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Clope interdite avant 16 ans ? - 22/01/2003
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Tromperie à propos des cigarettes non-inflamatoires - 20/01/2003
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Espagne et tabac - 20/01/2003
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Reemtsma accusé par une commissaire européenne - 18/01/2003
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Fermeture de l’usine Altadis : réaction de M. Raffarin
Suite à l’annonce mercredi dernier de la fermeture de l’usine de cigarettes lilloise Altadis, M. Raffarin a annoncé lors de sa conférence de presse du jeudi 24 juillet, qu’il proposerait un « contrat de site » à la région Nord-Pas-de-Calais, informe Le Monde. « Une procédure que nous avons développée avec Metaleurop et qui peut s’appliquer sur plusieurs territoires blessés par la fermeture d’usines » précisait-il encore après l’annonce du plan social d’Altadis. Le premier ministre s’est aussi dit « choqué par cette décision et la dimension politique qu’elle a voulu prendre puisqu’il a été sous-entendu que la politique de lutte contre le cancer était en opposition à la lutte pour l’emploi, une dialectique que je refuse ».
Quant au comité d’entreprise de l’usine franco-espagnol Altadis à Séville, il a annoncé des mesures de protestation « très musclée » contre le projet de fermeture de ce centre en 2005, écrit l’AFP. « Nous devons éviter la fermeture » de cette usine, « la plus ancienne fabrique de cigarettes au monde » qui emploie 233 personnes a expliqué la présidente de ce comité, Josefa Medrano. Le plan présenté par Altadis est un « coup dur et une folie. Il est regrettable que cette entreprise investisse dans la destruction d’emplois plus que dans la création de postes de travail » ajoute t-elle dans l’agence. L’usine du cigarettier a l’intention de supprimer 1 276 emplois (533 en France et 743 en Espagne). Altadis, qui veut préserver sa compétitivité, a justifié son projet par le déclin « structurel » de la consommation de tabac attribué aux politiques de santé et à la hausse de la fiscalité.