- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources
Actualités
-
L’inde passe à l’interdiction de fumer - 06/10/2008
-
Tabagisme passif : dépendance dès l’enfance ! - 30/09/2008
-
Nouvelle campagne de prévention INPES - 22/09/2008
-
Les fabricants nient toute demande hausse de l’Etat. - 21/09/2008
-
Fumeurs, mangez du brocolis - 16/09/2008
-
Baisse des fumeurs en Italie - 16/09/2008
-
La croatie se met à l’interdiction de fumer - 11/09/2008
-
Danemark : le tabac interdit au moins de 16 ans. - 09/09/2008
-
Mariage à 12 miliards de dollars - 09/09/2008
-
Augmentation des ventes de cigarettes - 08/09/2008
-
La cigarette pourrait tuer la Russie - 08/09/2008
0 ...
1230
|
1245
|
1260
|
1275
|
1290
|
1305
|
1320
|
1335
|
1350
... 3525
Rejet d’un amendement visant à assouplir la loi Evin
Les anti-tabac peuvent souffler. La commission mixte paritaire (CMP) du Parlement n’a pu trouver d’accord, mercredi 6 juillet, sur un projet de loi relatif à « la répartition des contentieux et l’allègement de certaines procédures juridictionnelles ». Parmi les multiples dispositions concernées par ce texte – qui devra donc être réexaminé ultérieurement par le Parlement – figurait notamment la possibilité d’une réduction du montant des amendes contre les fumeurs dans les lieux publics.
« Je suis ravi qu’on soit revenus à la raison. Le contraire aurait été effrayant et aurait constitué un recul de trente ans dans la lutte anti-tabac », a déclaré au Monde.fr Gérard Audureau, président de l’association Droit des non-fumeurs (DNF) et secrétaire général de l’Alliance contre le tabac.
En cause, l’article 22 quater, qui aurait permis de « transiger sur les infractions liées au fait de fumer dans les lieux à usage collectif ». En clair, il aurait permis au contrevenant d’éviter les poursuites pénales, grâce à une transaction à l’amiable. L’article précisait notamment que, dans ce cas, « l’amende transactionnelle que l’auteur de l’infraction doit payer ne peut excéder le tiers du montant de l’amende encourue », soit 45 euros au lieu de 135 euros.
Source : le Monde.fr Lire la suite de l’article