Actualités
-
L’inde passe à l’interdiction de fumer - 06/10/2008
-
Tabagisme passif : dépendance dès l’enfance ! - 30/09/2008
-
Nouvelle campagne de prévention INPES - 22/09/2008
-
Les fabricants nient toute demande hausse de l’Etat. - 21/09/2008
-
Fumeurs, mangez du brocolis - 16/09/2008
-
Baisse des fumeurs en Italie - 16/09/2008
-
La croatie se met à l’interdiction de fumer - 11/09/2008
-
Danemark : le tabac interdit au moins de 16 ans. - 09/09/2008
-
Mariage à 12 miliards de dollars - 09/09/2008
-
Augmentation des ventes de cigarettes - 08/09/2008
-
La cigarette pourrait tuer la Russie - 08/09/2008
0 ...
1230
|
1245
|
1260
|
1275
|
1290
|
1305
|
1320
|
1335
|
1350
... 3525
Le tabagisme et les jeunes
Le quotidien gratuit, 20 Minutes, daté du 6 juin, publie un article du Dr Marc Shelly ( médecin à l’hôpital Fernand Widal et fondateur de l’association Armédia). Le médecin qui fait état des « résultats alarmants » d’une enquête de l’OFDT menée auprès des élèves des lycées et collège souligne que dès 14 ans 23% des collégiens fument, dont 10% quotidiennement et qu’à 18 ans 45 % fument tous les jours. Il indique que l’association Artmédia a mené pour sa part une « action recherche exploratoire » auprès de jeunes Parisiens et Franciliens de 13 à 30 ans sur leurs motivations à commencer, continuer et arrêter de fumer. Affirmant que filles et garçons ont des « motivations différentes » lors de leur entrée dans le tabagisme, il rapporte que par ordre décroissant les filles allument une cigarette quand elles sont « soucieuses », pour « se relaxer », quand elles sont « mal à l’aise », pour « avoir une contenance en public » ou « contrôler leur appétit » alors que fumer pour « s’occuper les mains » ou lorsqu’on a « pas le moral » est une motivation des deux sexes, et que fumer « pour s’occuper quand on s’ennuie » est plus une raison masculine.
Cette étude montre aussi que le tabagisme du ou de la meilleure amie « semble jouer un rôle clef » plus important que celui du tabagisme des parents, domaine dans lequel, pour l’adolescente, le tabagisme de la mère « paraît peser plus lourd que celui du père ». « Plus rassurant » toutefois, selon le Dr Shelly, la majorité des jeunes envisage d’arrêter de fumer et seuls 20% n’en ont pas l’intention d’où son appel aux professionnels à « répéter leurs interventions auprès de ce public cible ».