- Qui sommes nous ?
 - 
                        Droit & Loi
                        
                                
- Traités et Textes Internationaux
 - Législation Européenne
 - Législation Française
 
 - Information & documentation
 - Actions Judiciaires
 - 
                        Agir
                        
                                
- Dépôt de plainte
 - Questions-réponses
 - Conseils pratiques
 - Campagnes de Prévention
 - TERRASSE
 
 - Centre de ressources
 
Actualités
- 
   Un réseau de trafic via Internet démantelé - 10/02/2004
 - 
   « Il n’y a pas que la nicotine... » - 09/02/2004
 - 
   Des conseils pour dire adieu au tabac - 06/02/2004
 - 
   Pas de recours au Canada - 06/02/2004
 - 
   Les médecins doivent montrer l’exemple - 03/02/2004
 - 
   Pas assez de moyens pour ceux qui veulent arreter ! - 03/02/2004
 - 
   La hausse des prix a du bon ! - 03/02/2004
 - 
   Les nouvelles du jour - 30/01/2004
 - 
   Altadis en grève - 29/01/2004
 - 
   Le message de Ticky - 27/01/2004
 - 
   « Cigarette écrasée, liberté gagnée ». - 27/01/2004
 - 
   Corse et tabac, meme combat ? - 27/01/2004
 - 
   Les buralistes frontaliers contre-attaquent - 27/01/2004
 - 
   Pour ceux qui veulent s’arrêter - 26/01/2004
 
0 ... 
 2610
	|
 2625
	|
 2640
	|
 2655
	|
 2670
	|
 2685
	|
 2700
	|
 2715
	|
 2730
 ... 3525
sevrage tabagique  
Paris Match s’interroge « Arrêt du tabac : Vers une législation plus sévère ? ». L’Hebdomadaire relaie les résultats de l’enquête européenne HELP lancée dans les 27 pays membres sur le taux de pollution induite par le monoxyde de carbone (qui « risque de mettre le cœur en déficit d’oxygène ») : « Dans les pays où l’interdiction du tabac est totale ( Irlande ), son taux dans les lieux publics est en moyenne de 2, 5 p. p. m. ; dans ceux où l’interdiction n’est que limitée, il est de 3, 9. Le Pr Dautzenberg, responsable de l’enquête Help en France, souhaite une législation plus sévère ».
« La molécule miracle a fait pschit » écrit Libération qui revient sur le relatif échec du Rimonabant, qui devait assurer les beaux jours de Sanofi-Aventis dans le cadre du sevrage tabagique. L’action de la molécule « sur le système cannabinoïque du cerveau a alerté les membres du comité de l’Autorité américaine de la santé ». Résultat : les revenus de la molécule ne dépasseront pas « 600 millions d’euros à l’horizon 2013 dans le monde selon les prévisions de Morgan Stanley » au lieu du milliard d’euros annuel minimum escompté.







