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Tabagisme passif : les femmes en première ligne
Dans le magazine Elle un article sur « le tabagisme passif » intitulé « les femmes en première ligne ». Le journal qui note que les experts n’arrivent pas à fixer un seuil « à partir duquel la fumée de cigarette inhalée par un non fumeur devient dangereuse » observe que les femmes exposées pendant leur grossesse et leur bébé « ont un risque accru de développer des maladies liées au tabac ».
Soulignant qu’en France 40% des femmes commencent leur grossesse en fumant au moins une cigarette par jour mais que 97% d’entre elles ont essayé d’arrêter pendant la grossesse, l’hebdomadaire indique qu’un manque d’information leur fait pourtant sous estimer les risques et que par ailleurs « les médecins ne s’investissent pas suffisamment dans l’aide au sevrage tabagique ».
La tabacologue Anne Borgne affirme « malheureusement réduire sa consommation n’est pas efficace » en effet « en réduisant leur consommation les femmes diminuent leur culpabilité mais pas la toxicité » assure le journal qui insiste sur la nécessité d’une vraie prise en charge des femmes enceintes et de la prescription de patchs par leur gynécologue. Expliquant qu’il convient aussi de traiter le tabagisme du père, le journal conclut que malgré tout « mieux vaut ne pas culpabiliser les mères qui fument »car en fait « c’est l’information qui paie ».