Actualités
-
Télévision allemande enfumée - 01/12/2006
-
Fumeurs, de la responsabilité des employeurs - 01/12/2006
-
Analyse de l’OMS : augmentation de la mortalité - 01/12/2006
-
Tabac et bébé de petits poids - 30/11/2006
-
Diner au sénat - 30/11/2006
-
Etats Unis : procès des cigarettiers - 29/11/2006
-
Buralistes : « ils ont été gâtés » - 28/11/2006
-
Le problème des chichas - 28/11/2006
-
décret qui fait un tabac - 28/11/2006
-
Quand l’entreprise se mêle de la vie privée - 27/11/2006
-
L’équipe condamné à 15.000 euros d’amende - 27/11/2006
-
Prévention tabac - 22/11/2006
0 ...
1605
|
1620
|
1635
|
1650
|
1665
|
1680
|
1695
|
1710
|
1725
... 3525
Sevrage Tabagique
08/04/2002
Sous le titre « Médicament antitabac cherche testeurs volontaires » le Parisien de lundi évoque la molécule BP 897 « qui pourrait bien révolutionner la lutte contre le tabagisme » en diminuant les « envies de prise de tabac ». Après des tests « satisfaisants sur des rats cocaïnomanes » elle devrait « être maintenant testée sur des humains fumeurs ».
Le journal qui signale que le Pr Lagrue et le Dr Le Foll de l’Inserm « recherchent cinquante gros fumeurs prêts à tenter l’expérience » précise que d’après le Dr Le Foll ils doivent fumer « au moins quinze cigarettes par jour depuis au moins dix ans » avoir « déjà tenté de s’arrêter sans y parvenir » ne pas être « dépendants à l’alcool ou à des drogues » et ne pas souffrir de « dépression ou de troubles psychiatriques ». Explications du journal sur « l’avantage de la molécule BP 897 » : elle « n’est pas un substitut donc pas une drogue en elle même » et « selon les expérimentateurs (elle) n’a pas provoqué d’effets secondaires ».
D’après le Parisien « si tout se passe bien l’étude sera achevée en 2003 et la molécule prête à être commercialisée dans deux ans ».( coordonnées fournies par le journal : centre de tabacologie d’Albert – Cheneviers, Créteil, 01 49 81 32 50)
A noter un encart sur le Zyban « efficace une fois sur deux » et qui « ne fait pas beaucoup mieux que les substituts à la nicotine, patchs et gommes » car « un an après la moitié des abstinents rechutent ». Par ailleurs ajoute le quotidien, c’est « un antidépresseur » et il « a donc les inconvénients de ces molécules ».