- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources
Actualités
-
Ecrire au Président de la République - 04/05/2006
-
les restaurants et la loi Evin dans la capitale - 03/05/2006
-
déclaration de Dominique de Villepin - 02/05/2006
-
L’ABCD du tabac n°4 - 29/04/2006
-
meeting des buralistes - 26/04/2006
-
Les policiers du tabac - 25/04/2006
-
Au restaurant le consommateur est roi - 24/04/2006
-
Ces restaurateurs qui disent non à la cigarette - 24/04/2006
-
Fumeurs, si vous saviez - 16/04/2006
-
Interdiction totale en France et fumoirs - 12/04/2006
0 ...
1770
|
1785
|
1800
|
1815
|
1830
|
1845
|
1860
|
1875
|
1890
... 3525
Reportage F2 hier soir...
Hier soir, le Journal de 20h sur France 2 présenté par David Pujadas nous a proposé un reportage montrant un fumeur en consultation chez une tabacologue. Cet homme avait déjà fumé environ 7 cigarettes avant son rendez-vous !
On a pu apprendre que, selon un sondage BVA, « 16% des fumeurs déclarent avoir arrêté il y a moins d’un an » et la cause en est... le prix bien entendu ! En effet, le prix du tabac a augmenté de 31% depuis mars dernier, ce qui provoque chez certains fumeurs un « ras le bol ». D’ailleurs, la tabacologue présente dans le reportage affirme que « quand on en a marre, on est prêt », et qu’avec la hausse des prix, « les gens qui étaient prêts passent plus facilement à l’action, c’est donc un déclic vers l’arrêt ».
Cette augmentation des tarifs se ressent pendant 6 à 9 mois, mais son effet a tendance à diminuer par la suite. C’est pourquoi Gérard, Dubois, président de l’Alliance contre le Tabac déclare qu’une « augmentation de 5% ne sert à rien », que « 10% c’est dissuasif » et « qu’il faut le répéter chaque année ».
En fin de reportage, on nous explique que si cette hausse « ne fait pas l’affaire des buralistes », les pharmaciens en sont quant à eux plutôt satisfaits, avec une hausse des ventes de patchs de 50% cette année.
Malheureusement, « il reste encore 17 millions de fumeurs à convaincre ».