- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources
Actualités
-
Ecrire au Président de la République - 04/05/2006
-
les restaurants et la loi Evin dans la capitale - 03/05/2006
-
déclaration de Dominique de Villepin - 02/05/2006
-
L’ABCD du tabac n°4 - 29/04/2006
-
meeting des buralistes - 26/04/2006
-
Les policiers du tabac - 25/04/2006
-
Au restaurant le consommateur est roi - 24/04/2006
-
Ces restaurateurs qui disent non à la cigarette - 24/04/2006
-
Fumeurs, si vous saviez - 16/04/2006
-
Interdiction totale en France et fumoirs - 12/04/2006
0 ...
1770
|
1785
|
1800
|
1815
|
1830
|
1845
|
1860
|
1875
|
1890
... 3525
Rejet d’un amendement visant à assouplir la loi Evin
Les anti-tabac peuvent souffler. La commission mixte paritaire (CMP) du Parlement n’a pu trouver d’accord, mercredi 6 juillet, sur un projet de loi relatif à « la répartition des contentieux et l’allègement de certaines procédures juridictionnelles ». Parmi les multiples dispositions concernées par ce texte – qui devra donc être réexaminé ultérieurement par le Parlement – figurait notamment la possibilité d’une réduction du montant des amendes contre les fumeurs dans les lieux publics.
« Je suis ravi qu’on soit revenus à la raison. Le contraire aurait été effrayant et aurait constitué un recul de trente ans dans la lutte anti-tabac », a déclaré au Monde.fr Gérard Audureau, président de l’association Droit des non-fumeurs (DNF) et secrétaire général de l’Alliance contre le tabac.
En cause, l’article 22 quater, qui aurait permis de « transiger sur les infractions liées au fait de fumer dans les lieux à usage collectif ». En clair, il aurait permis au contrevenant d’éviter les poursuites pénales, grâce à une transaction à l’amiable. L’article précisait notamment que, dans ce cas, « l’amende transactionnelle que l’auteur de l’infraction doit payer ne peut excéder le tiers du montant de l’amende encourue », soit 45 euros au lieu de 135 euros.
Source : le Monde.fr Lire la suite de l’article