- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources
Actualités
-
Interdiction du tabac en France ? - 11/12/2003
-
Mattéi signe... - 10/12/2003
-
Espagne : Altadis remporte le procès - 10/12/2003
-
Faut-il interdire le tabac ? - 10/12/2003
-
La baisse du nombre des fumeurs controversée - 10/12/2003
-
Les patchs bientôt remboursés ? - 10/12/2003
-
New York et la loi anti-tabac - 10/12/2003
-
Consommation ou contrebande ? - 10/12/2003
-
Le Journal « The Lancet » veut interdire le tabac. - 09/12/2003
-
Mattéi sur RTL - 09/12/2003
-
Quelques chiffres - 09/12/2003
-
Reportage F2 hier soir... - 09/12/2003
0 ...
2700
|
2715
|
2730
|
2745
|
2760
|
2775
|
2790
|
2805
|
2820
... 3525
Maladies cardiovasculaires : les femmes de plus en plus touchées
Les femmes ménopausées sont de plus en plus touchées par des maladies cardiovasculaires. Les raisons ? « L’allongement de la durée de vie » ainsi que « l’émergence de nouveaux facteurs de risques » , selon le Dr Tabassome SIMON (service de pharmacologie, hôpital St Antoine, Paris). Elle affirme que « dans les pays industrialisés, si une femme sur 26 meurt d’un cancer du sein, 1 sur 2 meurt d’une maladie cardiovasculaire, devenue la première cause de décès féminin à partir de 65 ans ».
Parmi les nouveaux facteurs de risque, on trouve bien évidemment « le tabagisme, mais aussi l’obésité, la sédentarité, l’hypercholestérolémie et le stress. »
Le Dr SIMON ajoute qu« on assiste à une inversion de tendance des deux courbes de mortalité, avec une diminution de celle des hommes et une stagnation voire une progression de celle des femmes. »
« Le tabagisme féminin est fortement incriminé », ajoute le Dr SIMON. "Ce dernier augmente le risque de mortalité globale de 87%. Cependant, deux ans après un sevrage tabagique, le nombre de décès diminue de 24% et 10 ans après la poursuite d’une abstinence tabagique, le risque de mortalité rejoint celui des non-fumeuses.
En conclusion, il serait bon que les femmes prennent conscience que les maladies cardiovasculaires ne sont plus réservées aux hommes et par conséquent, qu’elles adoptent une meilleure hygiène de vie, au lieu de prendre les mauvaises habitudes des hommes.