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La prévention du tabagisme passif en France. - 17/01/2006
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Cancer du poumon chez la femme - 16/01/2006
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On fume dans votre bureau ? réagissez - 16/01/2006
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Le Chanteur Renaud se confie sur le tabac - 16/01/2006
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zoom sur le restaurant « le Caséus » - 16/01/2006
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Diffusion du reportage « Retenez votre souffle » - 16/01/2006
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sevrage : en 2006, j’arrêtte .. - 13/01/2006
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La campagne du CNCT a été retirée - 13/01/2006
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Les bars madrilènes résistent à la loi antitabac - 12/01/2006
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la loi s’est facilement imposée en italie - 11/01/2006
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INRS demande le retrait du spot pub du CNCT - 11/01/2006
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la Jonquera, Paradis du fumeur Français - 11/01/2006
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Les Hopitaux américains refusent de recruter des fumeurs
Les Echos reviennent sur un nouveau phénomène américain : « De plus en plus d’hôpitaux américains refusent de recruter les fumeurs, jugés trop coûteux en terme de soins et d’absentéisme. »
Après avoir interdit la fumée dans les lieux publics et certains espaces découverts, les hôpitaux américains s’intéressent à leurs personnels.
Il n’y a aujourd’hui pas encore de statistiques fiables, mais les établissements n’embauchant pas de fumeurs semblent de plus en plus nombreux.
« Depuis 2005, l’air que respirent nos salariés est sans la moindre fumée. Il n’y en a ni à l’intérieur, ni à l’extérieur de l’établissement », raconte John Bluford, le président de Truman Medical Centers, précurseur en la matière. En 2006, son établissement est passé à l’étape suivante : « Nous n’embauchons plus les fumeurs pour montrer le sérieux de nos engagements, poursuit-il. Nous voulons améliorer la santé de notre communauté, encourager un mode de vie plus sain, minimiser les effets dévastateurs du tabac et amoindrir les coûts associés aux fumeurs. »
Selon le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC), un fumeur coûte à la société 3.391dollars en productivité perdue par an. « Le fumeur a besoin de davantage de soins, s’absente du travail plus souvent et son haleine est « désagréable », tant pour les malades que pour les visiteurs » explique John Bufford
Source : Les Echos Lire l’article complet sur le site de échos