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le coût social du tabac en question - 11/01/2006
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Dépistage précoce du cancer du poumon - 09/01/2006
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L’UMP intoxiquée par le lobby du tabac - 09/01/2006
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Les Fumeurs sont plus bêtes - 09/01/2006
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En Espagne , travailler ou fumer, il faut choisir - 06/01/2006
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Chocolats noir et fumeurs - 06/01/2006
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la Grèce entre en guerre contre les fumeurs - 04/01/2006
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Retour sur la loi antitabac espagnole - 03/01/2006
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Suisse : la vente de tabac interdite aux mineurs - 02/01/2006
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Panorama de presse sur l’interdiction espagnole - 02/01/2006
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chasse le tabac des lieux publics - 02/01/2006
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Sevrage : les femmes arrêtent plus difficilement - 02/01/2006
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Les Hopitaux américains refusent de recruter des fumeurs
Les Echos reviennent sur un nouveau phénomène américain : « De plus en plus d’hôpitaux américains refusent de recruter les fumeurs, jugés trop coûteux en terme de soins et d’absentéisme. »
Après avoir interdit la fumée dans les lieux publics et certains espaces découverts, les hôpitaux américains s’intéressent à leurs personnels.
Il n’y a aujourd’hui pas encore de statistiques fiables, mais les établissements n’embauchant pas de fumeurs semblent de plus en plus nombreux.
« Depuis 2005, l’air que respirent nos salariés est sans la moindre fumée. Il n’y en a ni à l’intérieur, ni à l’extérieur de l’établissement », raconte John Bluford, le président de Truman Medical Centers, précurseur en la matière. En 2006, son établissement est passé à l’étape suivante : « Nous n’embauchons plus les fumeurs pour montrer le sérieux de nos engagements, poursuit-il. Nous voulons améliorer la santé de notre communauté, encourager un mode de vie plus sain, minimiser les effets dévastateurs du tabac et amoindrir les coûts associés aux fumeurs. »
Selon le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC), un fumeur coûte à la société 3.391dollars en productivité perdue par an. « Le fumeur a besoin de davantage de soins, s’absente du travail plus souvent et son haleine est « désagréable », tant pour les malades que pour les visiteurs » explique John Bufford
Source : Les Echos Lire l’article complet sur le site de échos