Actualités
-
Nouvelle hausse des prix du tabac en janvier - 10/11/2003
-
Un spray anti-tabac... - 06/11/2003
-
Une usine sans tabac... - 06/11/2003
-
Les Japonais créent le soutien-gorge anti-tabac ! - 06/11/2003
-
Philip Morris fait appel de la décision du tribunal - 06/11/2003
-
JF Mattéi plaide l’harmonisation européenne - 06/11/2003
-
Tabac Actualités n°42 - 04/11/2003
-
« l’Etat complice de meurtre ? » - 31/10/2003
-
Les fumeurs de l’Onu se rebiffent - 31/10/2003
-
Pétition : Remercier les autorités irlandaises - 30/10/2003
0 ...
2790
|
2805
|
2820
|
2835
|
2850
|
2865
|
2880
|
2895
|
2910
... 3525
Le tabagisme et les jeunes
Le quotidien gratuit, 20 Minutes, daté du 6 juin, publie un article du Dr Marc Shelly ( médecin à l’hôpital Fernand Widal et fondateur de l’association Armédia). Le médecin qui fait état des « résultats alarmants » d’une enquête de l’OFDT menée auprès des élèves des lycées et collège souligne que dès 14 ans 23% des collégiens fument, dont 10% quotidiennement et qu’à 18 ans 45 % fument tous les jours. Il indique que l’association Artmédia a mené pour sa part une « action recherche exploratoire » auprès de jeunes Parisiens et Franciliens de 13 à 30 ans sur leurs motivations à commencer, continuer et arrêter de fumer. Affirmant que filles et garçons ont des « motivations différentes » lors de leur entrée dans le tabagisme, il rapporte que par ordre décroissant les filles allument une cigarette quand elles sont « soucieuses », pour « se relaxer », quand elles sont « mal à l’aise », pour « avoir une contenance en public » ou « contrôler leur appétit » alors que fumer pour « s’occuper les mains » ou lorsqu’on a « pas le moral » est une motivation des deux sexes, et que fumer « pour s’occuper quand on s’ennuie » est plus une raison masculine.
Cette étude montre aussi que le tabagisme du ou de la meilleure amie « semble jouer un rôle clef » plus important que celui du tabagisme des parents, domaine dans lequel, pour l’adolescente, le tabagisme de la mère « paraît peser plus lourd que celui du père ». « Plus rassurant » toutefois, selon le Dr Shelly, la majorité des jeunes envisage d’arrêter de fumer et seuls 20% n’en ont pas l’intention d’où son appel aux professionnels à « répéter leurs interventions auprès de ce public cible ».