- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources
Actualités
-
Ecrire au Président de la République - 04/05/2006
-
les restaurants et la loi Evin dans la capitale - 03/05/2006
-
déclaration de Dominique de Villepin - 02/05/2006
-
L’ABCD du tabac n°4 - 29/04/2006
-
meeting des buralistes - 26/04/2006
-
Les policiers du tabac - 25/04/2006
-
Au restaurant le consommateur est roi - 24/04/2006
-
Ces restaurateurs qui disent non à la cigarette - 24/04/2006
-
Fumeurs, si vous saviez - 16/04/2006
-
Interdiction totale en France et fumoirs - 12/04/2006
0 ...
1770
|
1785
|
1800
|
1815
|
1830
|
1845
|
1860
|
1875
|
1890
... 3525
Cancéreux : il n’est pas trop tard pour arrêter de fumer !
Des stratégies destinées à aider les cancéreux à cesser de fumer doivent absolument être mises en place dès que leur maladie est diagnostiquée ».
Pour y parvenir le Dr Ian Olver, du Royal Adelaïde Hospital Cancer Centre en Australie, a mené une étude sur 384 cancéreux afin d’évaluer l’efficacité des techniques d’auto motivation employées pour les encourager à l’arrêt du tabac.
Les résultats se sont révélés peu convaincants. Toutefois, cette méthode aurait permis de prévoir quels sont les patients les plus susceptibles de s’arrêter. Notamment ceux qui pensent que leur tabagisme est à l’origine de leur maladie. « Les professionnels doivent être réceptifs lorsqu’ils abordent le sujet avec ces patients. Ils doivent essayer de comprendre pourquoi ils fument. Par exemple, si le patient fume parce qu’il est stressé, c’est la cause du stress qui doit être traitée », souligne Ian Olver.
Par ailleurs, il a tenu à tordre le cou à une idée reçue : « Beaucoup de patients croient qu’une fois leur cancer diagnostiqué, il est trop tard pour s’arrêter de fumer. Ce n’est pas vrai. Il n’est jamais trop tard. Le fait d’arrêter de fumer peut en effet améliorer le pronostic, mais aussi la qualité de vie des patients ».
Sources : Congrès européen d’Oncologie médicale, octobre 2002 (Destination Santé)