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L’adieu au tabac - 15/01/2007
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Une année sans tabac pour Adecco - 15/01/2007
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Les entreprises face au tabac - 15/01/2007
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La prohibition du tabac diminue les infarctus - 15/01/2007
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Interdiction de fumer et mode de vie - 15/01/2007
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Des restaurants disent adieu à la cigarette - 15/01/2007
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Baromètre santé - 13/01/2007
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Coup de tabac sur les cigarettiers - 12/01/2007
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Polonium et tabac - 11/01/2007
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les collèges parisiens et actions de prévention - 11/01/2007
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décret : l’état doit être irréprochable - 11/01/2007
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Le champix - 10/01/2007
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Le train pour arrêter de fumer - 10/01/2007
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asthme multiplié pour les jeunes fumeurs - 09/01/2007
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la pipe de Tati remplacée par un moulin à vent
« La régie publicitaire de la RATP, Métrobus, a supprimé sur une campagne d’affichage pour une exposition parisienne consacrée à Jacques Tati la pipe du cinéaste, et l’a remplacée par un moulin à vent en vertu de la loi Evin contre le tabac, provoquant un début de polémique » annonce l’AFP.
Sur la photo originale, le réalisateur de « Mon oncle » circule sur un Solex, une pipe à la bouche, un enfant assis sur un siège arrière.
« La loi c’est la loi », explique la RATP, en référence à la loi Evin de 1991 qui proscrit la publicité pour le tabac tout en regrettant de ne pas avoir été consultée par Métrobus avant cette modification et de « découvrir la polémique ».
Metrobus a diffusé un communiqué devant la polémique en expliquant avoir voulu respecter la législation en vigueur et une « jurisprudence constante »
Roselyne Bachelot a fait savoir qu’elle était opposée à cette transformation du cliché qui sert de support à la campagne pour une exposition à la Cinémathèque française.
Gérard Audureau, président de l’Association « Droits des non-fumeurs », est plus partagé. « Je ne peux pas condamner sans pour autant cautionner » cette retouche, a-t-il indiqué. la « prudence » de l’afficheur s’explique notamment par « la valeur publicitaire qui est attachée au nombre d’affiches et au lieu de diffusion »(qui en font une immense publicité), mais en même temps, on doit prendre en compte le « point de vue historique » pour ne pas bannir l’objet du délit.
Cette polémique aura en tout cas fait une formidable publicité à cette exposition.