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l’industrie du tabac n’a pas de problème de trésorerie ! 
source : le figaro
Sur les dix dernières années, les performances des actions du secteur sont exceptionnelles. British American Tobacco a par exemple grimpé de plus de 334 %.
Au moment, où nous apprenons la hausse de 6 % du tabac en France en septembre, il est bon de faire le point sur ce secteur en Bourse. Depuis que les géants de l’industrie du tabac ont mis fin à leurs déboires judiciaires aux États-Unis, à la fin des années 1990, ils connaissent une période florissante. La Bourse ne s’y est pas trompée. Dans un contexte connu comme « la décennie perdue » pour les actions, les hausses affichées par les géants du tabac sont incroyables.
Reynolds s’est envolé de 183 %. British American Tobacco a pris 339 %. Lorillard a décollé de 312 %. Altria a gagné 164 %. Ces performances ne prennent même pas en compte les dividendes versés, sachant que le rendement ressort souvent autour de 5 % par an pour ces titres.
L’industrie du tabac n’a pas à se poser la question de la fidélité de ses clients. Ils sont rendus dépendants par la substance. Que la conjoncture soit morose ou pas, cela n’a guère d’impact sur ces sociétés. Mieux, elles se sont développées à une vitesse inédite dans les marchés émergents, en Afrique et en Asie.