Actualités
-
Lobby du tabac, les cadeaux à nos parlementaires - 02/10/2017
-
tabac : tous les prix vont bondir - 30/09/2017
-
interdiction de fumer étendue au vapotage au bureau - 28/09/2017
-
Tabac, la fin de l’imposture - 27/09/2017
-
industrie du tabac et députés... - 25/09/2017
-
Un adolescent sur quatre fume en France - 21/09/2017
-
NOn au retour du tabac dans les lycées - 31/08/2017
-
Le paquet de cigarettes sera à 10 euros en 2020 - 31/08/2017
-
New York en lutte contre le tabac - 28/08/2017
-
Mourir du tabac en France - 28/08/2017
-
Les avertissements sanitaires arrivent au Sénégal - 27/08/2017
0 ...
240
|
255
|
270
|
285
|
300
|
315
|
330
|
345
|
360
... 3525
Sevrage Tabagique
08/04/2002
Sous le titre « Médicament antitabac cherche testeurs volontaires » le Parisien de lundi évoque la molécule BP 897 « qui pourrait bien révolutionner la lutte contre le tabagisme » en diminuant les « envies de prise de tabac ». Après des tests « satisfaisants sur des rats cocaïnomanes » elle devrait « être maintenant testée sur des humains fumeurs ».
Le journal qui signale que le Pr Lagrue et le Dr Le Foll de l’Inserm « recherchent cinquante gros fumeurs prêts à tenter l’expérience » précise que d’après le Dr Le Foll ils doivent fumer « au moins quinze cigarettes par jour depuis au moins dix ans » avoir « déjà tenté de s’arrêter sans y parvenir » ne pas être « dépendants à l’alcool ou à des drogues » et ne pas souffrir de « dépression ou de troubles psychiatriques ». Explications du journal sur « l’avantage de la molécule BP 897 » : elle « n’est pas un substitut donc pas une drogue en elle même » et « selon les expérimentateurs (elle) n’a pas provoqué d’effets secondaires ».
D’après le Parisien « si tout se passe bien l’étude sera achevée en 2003 et la molécule prête à être commercialisée dans deux ans ».( coordonnées fournies par le journal : centre de tabacologie d’Albert – Cheneviers, Créteil, 01 49 81 32 50)
A noter un encart sur le Zyban « efficace une fois sur deux » et qui « ne fait pas beaucoup mieux que les substituts à la nicotine, patchs et gommes » car « un an après la moitié des abstinents rechutent ». Par ailleurs ajoute le quotidien, c’est « un antidépresseur » et il « a donc les inconvénients de ces molécules ».