Actualités
-
La hausse des prix montrent déjà ses effets - 12/04/2018
-
Le vapotage est-il dangereux ? - 05/04/2018
-
Le vapotage est-il dangereux ? - 03/04/2018
-
Chronique du dr mesny n°30 - 03/04/2018
-
Tabac : les ventes en fort recul - 31/03/2018
-
La dangerosité de certains e-liquide mis à jour - 31/03/2018
-
Fumer a un effet néfaste sur l’audition - 14/03/2018
-
La finance se détourne de l’industrie du tabac - 09/03/2018
-
L’augmentation du tabac vous dissuade-t-elle ? - 05/03/2018
-
Le mégot, ce nouvel ennemi. - 21/02/2018
-
Service sanitaire pour les étudiants en santé - 18/02/2018
0 ...
180
|
195
|
210
|
225
|
240
|
255
|
270
|
285
|
300
... 3525
Sevrage Tabagique
08/04/2002
Sous le titre « Médicament antitabac cherche testeurs volontaires » le Parisien de lundi évoque la molécule BP 897 « qui pourrait bien révolutionner la lutte contre le tabagisme » en diminuant les « envies de prise de tabac ». Après des tests « satisfaisants sur des rats cocaïnomanes » elle devrait « être maintenant testée sur des humains fumeurs ».
Le journal qui signale que le Pr Lagrue et le Dr Le Foll de l’Inserm « recherchent cinquante gros fumeurs prêts à tenter l’expérience » précise que d’après le Dr Le Foll ils doivent fumer « au moins quinze cigarettes par jour depuis au moins dix ans » avoir « déjà tenté de s’arrêter sans y parvenir » ne pas être « dépendants à l’alcool ou à des drogues » et ne pas souffrir de « dépression ou de troubles psychiatriques ». Explications du journal sur « l’avantage de la molécule BP 897 » : elle « n’est pas un substitut donc pas une drogue en elle même » et « selon les expérimentateurs (elle) n’a pas provoqué d’effets secondaires ».
D’après le Parisien « si tout se passe bien l’étude sera achevée en 2003 et la molécule prête à être commercialisée dans deux ans ».( coordonnées fournies par le journal : centre de tabacologie d’Albert – Cheneviers, Créteil, 01 49 81 32 50)
A noter un encart sur le Zyban « efficace une fois sur deux » et qui « ne fait pas beaucoup mieux que les substituts à la nicotine, patchs et gommes » car « un an après la moitié des abstinents rechutent ». Par ailleurs ajoute le quotidien, c’est « un antidépresseur » et il « a donc les inconvénients de ces molécules ».