- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources
Actualités
-
La hausse des prix montrent déjà ses effets - 12/04/2018
-
Le vapotage est-il dangereux ? - 05/04/2018
-
Le vapotage est-il dangereux ? - 03/04/2018
-
Chronique du dr mesny n°30 - 03/04/2018
-
Tabac : les ventes en fort recul - 31/03/2018
-
La dangerosité de certains e-liquide mis à jour - 31/03/2018
-
Fumer a un effet néfaste sur l’audition - 14/03/2018
-
La finance se détourne de l’industrie du tabac - 09/03/2018
-
L’augmentation du tabac vous dissuade-t-elle ? - 05/03/2018
-
Le mégot, ce nouvel ennemi. - 21/02/2018
-
Service sanitaire pour les étudiants en santé - 18/02/2018
0 ...
180
|
195
|
210
|
225
|
240
|
255
|
270
|
285
|
300
... 3525
Rejet d’un amendement visant à assouplir la loi Evin
Les anti-tabac peuvent souffler. La commission mixte paritaire (CMP) du Parlement n’a pu trouver d’accord, mercredi 6 juillet, sur un projet de loi relatif à « la répartition des contentieux et l’allègement de certaines procédures juridictionnelles ». Parmi les multiples dispositions concernées par ce texte – qui devra donc être réexaminé ultérieurement par le Parlement – figurait notamment la possibilité d’une réduction du montant des amendes contre les fumeurs dans les lieux publics.
« Je suis ravi qu’on soit revenus à la raison. Le contraire aurait été effrayant et aurait constitué un recul de trente ans dans la lutte anti-tabac », a déclaré au Monde.fr Gérard Audureau, président de l’association Droit des non-fumeurs (DNF) et secrétaire général de l’Alliance contre le tabac.
En cause, l’article 22 quater, qui aurait permis de « transiger sur les infractions liées au fait de fumer dans les lieux à usage collectif ». En clair, il aurait permis au contrevenant d’éviter les poursuites pénales, grâce à une transaction à l’amiable. L’article précisait notamment que, dans ce cas, « l’amende transactionnelle que l’auteur de l’infraction doit payer ne peut excéder le tiers du montant de l’amende encourue », soit 45 euros au lieu de 135 euros.
Source : le Monde.fr Lire la suite de l’article