Actualités
-
La baisse du nombre des fumeurs controversée - 10/12/2003
-
Les patchs bientôt remboursés ? - 10/12/2003
-
New York et la loi anti-tabac - 10/12/2003
-
Consommation ou contrebande ? - 10/12/2003
-
Le Journal « The Lancet » veut interdire le tabac. - 09/12/2003
-
Mattéi sur RTL - 09/12/2003
-
Quelques chiffres - 09/12/2003
-
Reportage F2 hier soir... - 09/12/2003
-
Le Royaume Uni sensibilise les parents. - 08/12/2003
-
Tabac et grossesse : des enfants plus dépendants - 08/12/2003
-
En scène ! - 08/12/2003
-
Hausse du prix du tabac et consommation. - 08/12/2003
-
Sondage surprenant - 07/12/2003
-
Les buralistes toujours au coeur du débat - 04/12/2003
-
Tabac et gencives - 04/12/2003
0 ...
2715
|
2730
|
2745
|
2760
|
2775
|
2790
|
2805
|
2820
|
2835
... 3525
Pour ceux qui veulent s’arrêter
D’après la Croix « des fumeurs se mettent en quête d’un ciel sans fumée ».
Le journal est allé à l’Hôtel Dieu à Paris où « le personnel de la consultation d’aide au sevrage tabagique accompagne les personnes souhaitant en finir avec leur dépendance au tabac ».
D’après le quotidien, sur les 20 personnes présentes à la consultation aucune ne mentionne le prix du tabac, « ni même l’emballage devenu détestable » et quand le médecin arrive « le langage est direct, aucune photo choc d’un cancer (…) elle explique le processus de dépendance lié à la nicotine (…) puis elle décrit la démarche » en précisant que le questionnaire de Fagerstrom rempli par les patients permet de cerner la quantité de nicotine absorbée ainsi que les motivations, et qu’il sera rempli à nouveau à chaque visite pour évaluer l’évolution du sevrage. Evoquant également l’analyse d’urine et le spiromètre qui permet de mesurer la qualité de l’air dans le souffle, le journal indique que c’est à partir de ces données que l’on peut choisir une substitution qui correspond à la consommation de chacun.
Le quotidien qui fait aussi un point sur l’accompagnement qui permettra de gérer les émotions et aidera à manger moins ou mieux, note que le médecin mentionne les rechutes qui ne sont « jamais un échec » mais « un pas de plus pour aller plus loin ». Elle se dit surtout préoccupée par les jeunes femmes de moins de 30 ans et les adolescents. Suit une rencontre personnelle du médecin avec chaque participant. A la sortie de l’entretien Valérie dit « Elle m’a écoutée pour choisir ensemble le traitement » et elle ajoute « on a besoin d’un rapport personnel avec le thérapeute. Dans le groupe on a moins l’impression d’exister ».
D’après la Croix, « tous ont pris rendez vous pour revenir au pied ses tours de Notre Dame ».