Actualités
-
Rimonabant : la pilule miracle - 21/05/2004
-
« Fumer, ça pue. Fumer ,ça tue » - 21/05/2004
-
Plan cancer : le bilan d’un an d’effort - 19/05/2004
-
Tabac : la rechute est dure à éviter - 19/05/2004
-
Assurance maladie- tabac et alcool - 18/05/2004
-
Plan cancer et tabac - 18/05/2004
-
le tabac tue aussi sur la route - 18/05/2004
-
La Belgique sur le chemin de la France - 05/05/2004
-
Une pilule miracle contre le tabagisme et l’obésité - 04/05/2004
-
Tabagisme passif - 03/05/2004
0 ...
2505
|
2520
|
2535
|
2550
|
2565
|
2580
|
2595
|
2610
|
2625
... 3525
New York en guerre contre les cendriers !
En Ventre de Une du Figaro, Guy Baret se penche sur l’« impitoyable traque aux fumeurs outre-Atlantique ». Considérant qu’à New York le cendrier fait partie des « armes par destination » et qu’il « est traqué car il tue », le chroniqueur évoque « les Elliot Ness de la nicotine (qui) effectuent des descentes dans les entreprises pour éradiquer le mal » car « la simple exposition d’un cendrier est un délit ».
Observant que selon la réglementation ces objets « ne doivent pas être utilisés » ni même « mis à disposition » où il est interdit de fumer, c’est-à-dire partout » le journaliste souligne que toute infraction coûte « la rondelette somme de 2000 dollars ». Et de faire état des personnalités sanctionnées pour possession de cendriers, même de collection, avec cette précision que « Elliot Marcus l’incorruptible de la santé publique » a admis qu’un « cendrier décoratif rempli de trombones ne ferait pas l’objet de poursuites ».
Guy Baret qui indique que les bars de New York ont perdu 30% de leur clientèle, assure que « certains tenanciers » procèdent même à des fouilles de clients pour être sûr que « le produit qui nuit gravement à leur commerce ne pénétrera pas dans leur établissement ».
Conclusion sur les armes, pour lesquelles en revanche « rien n’a changé », puisque « la loi autorise toujours le citoyen à conserver un pistolet chargé dans son bureau ». Et cette chute : « Où cela va-t-il s’arrêter ? » sachant que chacun est « un délinquant potentiel puisqu’il a sur lui de quoi commettre un attentat à la pudeur ».