- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources
Actualités
-
Interdiction de vente du tabac aux moins de 16 ans - 14/05/2003
-
Tabac et entreprises - 14/05/2003
-
Comité national contre le tabagisme - 12/05/2003
-
Déclaration du Premier ministre - 12/05/2003
-
Stratégie mondiale de l’OMS sur l’alimentation - 10/05/2003
-
Rester mince sans fumer - 06/05/2003
-
Cancer : la SEITA savait depuis 1954 - 05/05/2003
-
Projet de loi sur la santé publique et prévention - 05/05/2003
-
Journée mondiale sans tabac - 05/05/2003
0 ...
3015
|
3030
|
3045
|
3060
|
3075
|
3090
|
3105
|
3120
|
3135
... 3525
Les cache-paquet en vogue
D’après les Echos, « les cache – paquets de cigarettes font un tabac » et « c’est une nouvelle niche de marché ».
Indiquant que le produit est souvent imaginé par des sociétés de communication ou organisatrices d’événements, le journal évoque les nouvelles mentions inventées comme « penser joli » ou « mon numéro au dos » pour souligner qu’une filiale du groupe Altadis affirme en avoir déjà livré 3 à 4 millions dans les bureaux de tabac.
Le quotidien qui fait également état de l’existence des autocollants Patch’aklop destinés à cacher les messages officiels, précise que pour l’instant ils sont commercialisés dans les restaurants et dans « la très snob boutique Colette » qui en a vendu quelques milliers en trois semaines, pour assurer que bientôt ils seront aux Galeries Lafayette, mais qu’ils sont encore très peu vendus par les buralistes, un milieu « pas si facile à démarcher ».
Estimant toutefois qu’« une fois (…) le regard des fumeurs habitué aux avertissements le marché risque de s’essouffler » d’autant que des « fabrications maison gratuites » s’échangent sur le net, les Echos souligne que la société qui créé ces autocollants « a déjà prévu une parade » : en faire « un objet de fidélisation » offert par les buralistes.