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Les fumeurs (sont) inégaux face à la dépendance - 09/05/2007
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Interdiction de fumer dans les lieux publics - 03/05/2007
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Bilan : interdiction de fumer - 30/04/2007
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Nomination du délégué de la MILDT - 30/04/2007
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Jo et tabac - 26/04/2007
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Les méfaits de la pub antitabac - 26/04/2007
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Premier Bilan de l’interdiction de fumer - 26/04/2007
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Les Français accros aux traitements à la nicotine - 24/04/2007
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Methode de sevrage - 23/04/2007
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34 PV pour non respect de l’interdiction de fumer - 23/04/2007
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Etude cigarette et paroi arterielle - 20/04/2007
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Nouvel arrêté : Montant de l’aide aux tabaculteurs - 18/04/2007
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Interdiction de fumer et pause au travail - 17/04/2007
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Les Hopitaux américains refusent de recruter des fumeurs
Les Echos reviennent sur un nouveau phénomène américain : « De plus en plus d’hôpitaux américains refusent de recruter les fumeurs, jugés trop coûteux en terme de soins et d’absentéisme. »
Après avoir interdit la fumée dans les lieux publics et certains espaces découverts, les hôpitaux américains s’intéressent à leurs personnels.
Il n’y a aujourd’hui pas encore de statistiques fiables, mais les établissements n’embauchant pas de fumeurs semblent de plus en plus nombreux.
« Depuis 2005, l’air que respirent nos salariés est sans la moindre fumée. Il n’y en a ni à l’intérieur, ni à l’extérieur de l’établissement », raconte John Bluford, le président de Truman Medical Centers, précurseur en la matière. En 2006, son établissement est passé à l’étape suivante : « Nous n’embauchons plus les fumeurs pour montrer le sérieux de nos engagements, poursuit-il. Nous voulons améliorer la santé de notre communauté, encourager un mode de vie plus sain, minimiser les effets dévastateurs du tabac et amoindrir les coûts associés aux fumeurs. »
Selon le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC), un fumeur coûte à la société 3.391dollars en productivité perdue par an. « Le fumeur a besoin de davantage de soins, s’absente du travail plus souvent et son haleine est « désagréable », tant pour les malades que pour les visiteurs » explique John Bufford
Source : Les Echos Lire l’article complet sur le site de échos