Actualités
-
Un nez électronique pour détecter les fumeurs - 18/09/2009
-
Les fumeurs moins bons salariés ? - 17/09/2009
-
Baisse du nombre d’infarctus en Angleterre - 14/09/2009
-
la cigarette altère bien le sens du goût ! - 11/09/2009
-
Le tabagisme Ultra-passif - 09/09/2009
-
Le Prix du tabac devrait augmenter en octobre - 07/09/2009
-
Saisie record de cigarettes de contrebande - 02/09/2009
-
En allemagne, les assureurs favorisent les fumeurs - 31/08/2009
-
En 2010, le tabagisme fera 6 millions de victimes - 28/08/2009
-
Les avertissements chocs contreproductifs ? - 28/08/2009
0 ...
1125
|
1140
|
1155
|
1170
|
1185
|
1200
|
1215
|
1230
|
1245
... 3525
Les Hopitaux américains refusent de recruter des fumeurs
Les Echos reviennent sur un nouveau phénomène américain : « De plus en plus d’hôpitaux américains refusent de recruter les fumeurs, jugés trop coûteux en terme de soins et d’absentéisme. »
Après avoir interdit la fumée dans les lieux publics et certains espaces découverts, les hôpitaux américains s’intéressent à leurs personnels.
Il n’y a aujourd’hui pas encore de statistiques fiables, mais les établissements n’embauchant pas de fumeurs semblent de plus en plus nombreux.
« Depuis 2005, l’air que respirent nos salariés est sans la moindre fumée. Il n’y en a ni à l’intérieur, ni à l’extérieur de l’établissement », raconte John Bluford, le président de Truman Medical Centers, précurseur en la matière. En 2006, son établissement est passé à l’étape suivante : « Nous n’embauchons plus les fumeurs pour montrer le sérieux de nos engagements, poursuit-il. Nous voulons améliorer la santé de notre communauté, encourager un mode de vie plus sain, minimiser les effets dévastateurs du tabac et amoindrir les coûts associés aux fumeurs. »
Selon le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC), un fumeur coûte à la société 3.391dollars en productivité perdue par an. « Le fumeur a besoin de davantage de soins, s’absente du travail plus souvent et son haleine est « désagréable », tant pour les malades que pour les visiteurs » explique John Bufford
Source : Les Echos Lire l’article complet sur le site de échos