Actualités
-
CAMPAGNE ANTI-TABAC DU CNCT - 23/07/2002
-
Spot Tabac du CNCT - 22/07/2002
-
Grand Prix de Belgique et tabac - 22/07/2002
-
Japon et tabac - 22/07/2002
-
Cigarettes : - 4,5% de ventes, +3,5% de recettes ! - 18/07/2002
-
Le Ministère de la Santé « dispose » de la MILDT - 16/07/2002
-
Tabac et TGV - 10/07/2002
-
Tabac et fermeture d’usines - 10/07/2002
-
Spot INPES : Problème de comunication ? - 09/07/2002
-
Fumer favorise l’anxiété - 04/07/2002
-
INPES Campagne de communication - 26/06/2002
0 ...
3390
|
3405
|
3420
|
3435
|
3450
|
3465
|
3480
|
3495
|
3510
|
3525
Le tabagisme et les jeunes
Le quotidien gratuit, 20 Minutes, daté du 6 juin, publie un article du Dr Marc Shelly ( médecin à l’hôpital Fernand Widal et fondateur de l’association Armédia). Le médecin qui fait état des « résultats alarmants » d’une enquête de l’OFDT menée auprès des élèves des lycées et collège souligne que dès 14 ans 23% des collégiens fument, dont 10% quotidiennement et qu’à 18 ans 45 % fument tous les jours. Il indique que l’association Artmédia a mené pour sa part une « action recherche exploratoire » auprès de jeunes Parisiens et Franciliens de 13 à 30 ans sur leurs motivations à commencer, continuer et arrêter de fumer. Affirmant que filles et garçons ont des « motivations différentes » lors de leur entrée dans le tabagisme, il rapporte que par ordre décroissant les filles allument une cigarette quand elles sont « soucieuses », pour « se relaxer », quand elles sont « mal à l’aise », pour « avoir une contenance en public » ou « contrôler leur appétit » alors que fumer pour « s’occuper les mains » ou lorsqu’on a « pas le moral » est une motivation des deux sexes, et que fumer « pour s’occuper quand on s’ennuie » est plus une raison masculine.
Cette étude montre aussi que le tabagisme du ou de la meilleure amie « semble jouer un rôle clef » plus important que celui du tabagisme des parents, domaine dans lequel, pour l’adolescente, le tabagisme de la mère « paraît peser plus lourd que celui du père ». « Plus rassurant » toutefois, selon le Dr Shelly, la majorité des jeunes envisage d’arrêter de fumer et seuls 20% n’en ont pas l’intention d’où son appel aux professionnels à « répéter leurs interventions auprès de ce public cible ».