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Circulation des cigarettes - 27/10/2005
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Projet de loi antitabac britannique - 27/10/2005
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Tabac et braille - 26/10/2005
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Restaurants sans tabac - 26/10/2005
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Jeune et tabac : « Je m’ennuie donc je fume » - 26/10/2005
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Appel à témoin : entreprise devenue non-fumeur - 25/10/2005
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Tabagisme en Entreprise : DNF à l’aide des DRH - 25/10/2005
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Tabac Actualités n° 66 - 24/10/2005
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La contrebande pourrait réapparaître au Canada - 24/10/2005
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La broncho pneumopathie obstructive « étrangement méconnue »
Sous le titre « Reprenez votre souffle » Notre Temps, revue destinée aux seniors, se penche en introduction sur la broncho pneumopathie obstructive qui « étrangement méconnue » concerne pourtant 2 ,5 millions de personnes en France et représente la 3ème cause de mortalité par maladie (15 000 décès par an), les femmes présentant souvent « des formes plus précoces et plus graves ».
La revue qui indique que cette maladie entraîne une « diminution en grande partie irréversible du débit respiratoire » avec gène et essoufflement note que « bien des fumeurs banalisent cette gêne et consultent lorsque les bronches sont déjà très atteintes » or, « sauf si elle est dépistée à temps, la maladie conduit à vivre sous oxygénothérapie ». Responsable de 90% des BPCO : le tabac.
Selon le tabacologue Gilbert Lagrue « 50% des fumeurs ayant consommé plus de 20 cigarettes par jour pendant 20 ans sont concernés » et Jean François Cordier président de la Société de pneumologie assure « toute personne de plus de 40 ans qui fume devrait se voir proposer systématiquement par le généraliste une mesure de son débit respiratoire ». Pour lui toutefois « le seul moyen d’action réellement efficace c’est l’arrêt total du tabac ».
Suit un développement sur l’arrêt du tabac dans lequel le Dr Bonte tabacologue à Lille observe que « les personnes qui craignent ou ressentent déjà des problèmes de santé liés au tabac souvent après 50 ans sont particulièrement motivées » et où la tabacologue Catherine Mautrait affirme qu’il « il n’est jamais trop tard pour arrêter » car « même à 70 ans le sevrage réduit significativement le risque de décès par maladie cardiovasculaire ». Sur les stratégies d’arrêt , le journal précise qu’il « n’existe pas de méthode magique (…) mais une stratégie à adapter à chacun » dont patchs nicotiniques, zyban et thérapies comportementalistes et cognitives mais aussi, et « même si elles ne sont pas validées scientifiquement » acupuncture, homéopathie, hypnose, auriculothérapie, relaxation ou encore thalassothérapie.