- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources
Actualités
-
Un réseau de trafic via Internet démantelé - 10/02/2004
-
« Il n’y a pas que la nicotine... » - 09/02/2004
-
Des conseils pour dire adieu au tabac - 06/02/2004
-
Pas de recours au Canada - 06/02/2004
-
Les médecins doivent montrer l’exemple - 03/02/2004
-
Pas assez de moyens pour ceux qui veulent arreter ! - 03/02/2004
-
La hausse des prix a du bon ! - 03/02/2004
-
Les nouvelles du jour - 30/01/2004
-
Altadis en grève - 29/01/2004
-
Le message de Ticky - 27/01/2004
-
« Cigarette écrasée, liberté gagnée ». - 27/01/2004
-
Corse et tabac, meme combat ? - 27/01/2004
-
Les buralistes frontaliers contre-attaquent - 27/01/2004
-
Pour ceux qui veulent s’arrêter - 26/01/2004
0 ...
2610
|
2625
|
2640
|
2655
|
2670
|
2685
|
2700
|
2715
|
2730
... 3525
La BPCO touche 3,5 millions de français.
La broncho-pneumopathie obstructive chronique (BPCO) est vraiment le sujet dont on parle au Congrès de la Société européennes des Maladies respiratoires (ERS), qui se tient actuellement à Amsterdam (Pays-Bas).
[...]En France, environ 3,5 millions de patients souffrent de BPCO. Et 16 000 en meurent chaque année ! A l’échelle mondiale, les chiffres sont plus discutés. Sur son site Internet, l’OMS fait état de 66 millions de malades. Mais les données évoquées à l’occasion de cet ERS font état de malades en nombres trois à quatre fois plus élevés. C’est ainsi que le Dr Monica Fletcher de l’Université de Warwick au Royaume-Uni, évoque « 210 millions de malades ».
Avec son équipe, elle a réalisé une étude dans six pays (Allemagne, Brésil, Chine, Etats-Unis, Royaume-Uni et Turquie) pour mesurer l’impact de cette affection sur le quotidien des malades :
- Plus de huit patients sur dix rapportent qu’ils « ont été incapables de maintenir leur vie telle qu’elle était avant la maladie, et un sur quatre a expliqué ne plus être en mesure de s’occuper d’enfants » ;
- Environ la moitié assure ne plus pouvoir « conduire des projets à moyen/long terme » ;
- 40% des patients ont vu leur revenu diminuer, « à cause de l’impact de cette affection sur leur carrière professionnelle ». [...]