Actualités
-
Une rue Non Fumeur - 13/04/2007
-
Altadis et Imperial Tobacco - 11/04/2007
-
Encore un fumeur qui bloque l’ascenseur ? - 11/04/2007
-
La position des candidats sur le tabac - 06/04/2007
-
Au feu le tabac - 05/04/2007
-
Inauguration d’une rue non fumeurs - 04/04/2007
-
Mais où sont passés les fumeurs ? - 04/04/2007
-
Interdiction de fumer : les gagnants et les perdants - 04/04/2007
-
la poste condamnée .. - 30/03/2007
-
Les irréductibles de la clope - 27/03/2007
-
Commission européenne - prix minimum - 23/03/2007
-
Le Champix remboursé à hauteur de 50 euros - 23/03/2007
-
Raid sur Altadis - 23/03/2007
-
l’Allemagne se dirige vers l’interdiction de fumer - 23/03/2007
0 ...
1485
|
1500
|
1515
|
1530
|
1545
|
1560
|
1575
|
1590
|
1605
... 3525
L’activité cérébrale peut révéler si le sevrage sera définitif
« L’activité du cerveau peut aider à évaluer la détermination d’un fumeur à arrêter la cigarette, selon une étude réalisée par des chercheurs américains qui ont observé au scanner une région du cortex liée aux modifications de comportement. »
Une étude, publiée lundi par la revue scientifique Health Psychology, a été effectuée auprès de 28 gros fumeurs ayant rejoint un programme pour arrêter la cigarette. "Les participants ont été invités à regarder une série de messages sur l’arrêt de la cigarette pendant qu’un scanner enregistrait l’activité de leur cerveau. Après chaque message, les patients « notaient de quelle manière cela avait influé sur leur projet d’arrêter la cigarette et si cela avait renforcé leur détermination ». Les personnes dont le cortex préfrontal médian manifestait une activité pendant la diffusion des messages étaient « significativement » plus enclins à réduire leur consommation de cigarettes dans le mois suivant. « Ce qui est passionnant, c’est qu’en sachant ce qui se passe dans le cerveau de quelqu’un (...) nous pouvons bien mieux prédire son futur comportement que si nous ne connaissions que sa propre évaluation », sur ses chances d’arrêter de fumer, analyse Emily Falk, principal auteur de l’étude et directrice du laboratoire sur les neurosciences et la communication à l’université du Michigan. L’étude, financée par les Instituts nationaux de santé américains et la Fondation nationale pour la science, s’est déroulée à l’Université de Californie, à Los Angeles (UCLA)."