
Actualités
-
Les tentatives d’arrêt du tabac se multiplient - 31/01/2006
-
Cigarette légère, encore plus dangereuse - 31/01/2006
-
Europe : « Les batailles du tabac - 30/01/2006
-
Espagne : le tabac part en guerre - 30/01/2006
-
SEVRAGE : ceux qui réussissent le mieux - 30/01/2006
-
risques de cancers et origines - 26/01/2006
-
Le narguilé passé à tabac - 25/01/2006
-
Procès contre la Seita - 25/01/2006
-
Le club des fumeurs espagnols demandent des comptes - 24/01/2006
-
L’espagne augmente sa taxe sur le tabac - 23/01/2006
-
Le Tabac à rouler encore plus toxique - 20/01/2006
-
Un lobby enfume l’assemblée - 18/01/2006
-
femmes et tabac - 17/01/2006
0 ...
1845
|
1860
|
1875
|
1890
|
1905
|
1920
|
1935
|
1950
|
1965
... 3525
Fermeture de l’usine Altadis : réaction de M. Raffarin 
Suite à l’annonce mercredi dernier de la fermeture de l’usine de cigarettes lilloise Altadis, M. Raffarin a annoncé lors de sa conférence de presse du jeudi 24 juillet, qu’il proposerait un « contrat de site » à la région Nord-Pas-de-Calais, informe Le Monde. « Une procédure que nous avons développée avec Metaleurop et qui peut s’appliquer sur plusieurs territoires blessés par la fermeture d’usines » précisait-il encore après l’annonce du plan social d’Altadis. Le premier ministre s’est aussi dit « choqué par cette décision et la dimension politique qu’elle a voulu prendre puisqu’il a été sous-entendu que la politique de lutte contre le cancer était en opposition à la lutte pour l’emploi, une dialectique que je refuse ».
Quant au comité d’entreprise de l’usine franco-espagnol Altadis à Séville, il a annoncé des mesures de protestation « très musclée » contre le projet de fermeture de ce centre en 2005, écrit l’AFP. « Nous devons éviter la fermeture » de cette usine, « la plus ancienne fabrique de cigarettes au monde » qui emploie 233 personnes a expliqué la présidente de ce comité, Josefa Medrano. Le plan présenté par Altadis est un « coup dur et une folie. Il est regrettable que cette entreprise investisse dans la destruction d’emplois plus que dans la création de postes de travail » ajoute t-elle dans l’agence. L’usine du cigarettier a l’intention de supprimer 1 276 emplois (533 en France et 743 en Espagne). Altadis, qui veut préserver sa compétitivité, a justifié son projet par le déclin « structurel » de la consommation de tabac attribué aux politiques de santé et à la hausse de la fiscalité.