- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources
Actualités
-
La presse espagnole critique la loi anti-tabac - 19/12/2005
-
Association algérienne de lutte contre le tabac - 19/12/2005
-
Tabac, bêta carotène et cancer - 16/12/2005
-
Sevrage - 16/12/2005
-
Un projet de loi antitabac finlandais - 16/12/2005
-
Bientôt une loi anti-tabac espagnole - 16/12/2005
-
Justice américaine - 16/12/2005
-
L’ABCD du tabac N°2 - 15/12/2005
-
Condamnation d’Altadis - 13/12/2005
-
OMS et recrutement - 12/12/2005
-
Sevrage - 12/12/2005
-
Suppression des wagons fumeurs - 07/12/2005
0 ...
1905
|
1920
|
1935
|
1950
|
1965
|
1980
|
1995
|
2010
|
2025
... 3525
ESPAGNE : Altadis minimise les effets des législations anti-tabac et se tourne vers l’étranger
Le co-président de la compagnie franco-espagnole de tabac, Altadis SA, a minimisé ce mardi les effets du renforcement de la législation espagnole dansle domaine de la lutte contre le tabagisme, déclarant qu’ils étaient surtout intéressés par les privatisations à venir, en Italie, au Maroc, en Turquie mais pas en Bulgarie.
Pablo Isla a mentionné que « si les propositions du Ministre espagnol de la santé affectaient l’industrie du tabac dans son ensemble, elles n’altéraient en rien leur compétitivité … Nous ne pensons pas que cela aura une incidence majeure sur nos profits ». « Certaines mesures peuvent paraître sensées, d’autres le sont moins » a-t-il ajouté affirmant qu’il y avait d’autres méthodes pour empêcher la vente de cigarettes aux mineurs que l’interdiction des machines automatiques et qu’il convenait dans les législations anti-tabac de respecter les droits des fumeurs au même titre que ceux des non-fumeurs ". Le co-président a déclaré que le marché italien les intéressait tout particulièrement et il a réaffirmé son désir de participer à la privatisation du monopole ETI, même si la procédure n’a pas encore été officiellement engagée.
Source : The Wall Street Journal Interactive Edition, le 4 juin 2002