
Actualités
-
manifestation des buralistes - 04/11/2006
-
Etats-Unis - tabac - justice - 02/11/2006
-
cigarettes de contrefaçon - 31/10/2006
-
Big bang dans les cuisines - 31/10/2006
-
Lobbys et députés sur la sellette - 27/10/2006
-
Le danger des cigarettes bonbons - 27/10/2006
-
DNF fait condamner Le Monde - 25/10/2006
-
Combien gagne un buraliste ! - 24/10/2006
-
Les bars-tabac et l’interdiction totale - 24/10/2006
-
Consultez la Déclaration Mondiale sur le cancer - 20/10/2006
0 ...
1635
|
1650
|
1665
|
1680
|
1695
|
1710
|
1725
|
1740
|
1755
... 3525
Didier jayle à la tête de la mission interministérielle de lutte contre la toxicomanie 
PARIS, 23 octobre (Reuters Santé) - Didier Jayle a été nommé mercredi, en Conseil des ministres président de la Mission interministérielle à la lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT) sur proposition du ministre de la Santé, Jean-François Mattei.
« C’est un homme de terrain, un homme compétent. Je crois qu’il a les capacités à donner un nouveau souffle dans l’action pour les toxicomanes », a-t-il affirmé mardi soir sur France 2.
« Le Dr Jayle est un praticien, il est à la fois psychiatre et dermatologue. Il a créé en 1986 en région Ile-de-France le centre régional d’information et de prévention du sida (CRIPS) et depuis s’est consacré au sida et à la drogue », a-t-il ajouté.
Agé de 49 ans, Didier Jayle qui succède à Nicole Maestracci en poste depuis juin 1998, a également créé en 1995 le centre de soins spécialisé aux toxicomanes (CSST) Nova Dona de Paris XIVème.
« Je pense que le côté médical doit être mis en avant parce qu’il y a là des soins à apporter à des gens qui souffrent », a affirmé le ministre rappelant son expérience d’élu à la mairie de Marseille.
Dans l’arsenal thérapeutique, il a cité « le sevrage brutal, qui réussit dans 15% des cas » et les produits de substitution « beaucoup décriés » mais dont il se déclare favorable car ils permettent de réduire le nombre de morts par overdose.
Le ministre se dit « pour le maintien de l’interdit du cannabis ». Il s’agit selon lui d’une question de santé publique, « car tout danger n’a pas été écarté », et d’une question de pédagogie. « Je suis en train de vous dire que je ne veux pas que les gens fument du tabac, je ne vais pas aller leur dire qu’ils peuvent fumer du cannabis »./yg
Source : Agence de Presse Médicale