- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources
Actualités
-
La baisse du nombre des fumeurs controversée - 10/12/2003
-
Les patchs bientôt remboursés ? - 10/12/2003
-
New York et la loi anti-tabac - 10/12/2003
-
Consommation ou contrebande ? - 10/12/2003
-
Le Journal « The Lancet » veut interdire le tabac. - 09/12/2003
-
Mattéi sur RTL - 09/12/2003
-
Quelques chiffres - 09/12/2003
-
Reportage F2 hier soir... - 09/12/2003
-
Le Royaume Uni sensibilise les parents. - 08/12/2003
-
Tabac et grossesse : des enfants plus dépendants - 08/12/2003
-
En scène ! - 08/12/2003
-
Hausse du prix du tabac et consommation. - 08/12/2003
-
Sondage surprenant - 07/12/2003
-
Les buralistes toujours au coeur du débat - 04/12/2003
-
Tabac et gencives - 04/12/2003
0 ...
2715
|
2730
|
2745
|
2760
|
2775
|
2790
|
2805
|
2820
|
2835
... 3525
Demande d’aménagement du décret
L’AFP indique que Richard Mallié, député UMP, a demandé hier un aménagement du décret interdisant de fumer dans les bars, restaurants et discothèques à compter du 1er janvier 2008. Affirmant que « cette interdiction pure et simple de fumer dans les lieux de vie est difficilement envisageable », le député s’appuie sur un récent sondage selon lequel 66% des Français sont favorables à des aménagements, pour estimer que « compte tenu de l’opinion des Français, il apparaît nécessaire d’aménager l’application prochaine du décret d’interdiction de fumer dans les restaurants, cafés, bars - tabacs et discothèques ».
D’après l’AFP, l’Union des professionnels du narguilé (UPN) juge « inapplicable » l’aménagement prévu pour les bars à chicha par le décret d’interdiction de fumer, à savoir l’installation d’un espace clos qui représentera 20% de la surface de l’établissement « puisque le narguilé nécessite en soi une prestation de service à laquelle s’ajoutent les prestations de consommations classiques ». Affirmant que ce décret entraînera « la mort » des salons à narguilé, l’UNP plaide « nos établissements font vivre 4000 salariés (...) et versent chaque année 35 millions d’euros de TVA à l’Etat ». D’après l’Union professionnelle ces bars sont « également un tremplin professionnel et social » car « ils ont donné l’opportunité à de nombreux jeunes, souvent issus de milieux défavorisés, de créer leur propre entreprise ».