- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources
Actualités
-
Un réseau de trafic via Internet démantelé - 10/02/2004
-
« Il n’y a pas que la nicotine... » - 09/02/2004
-
Des conseils pour dire adieu au tabac - 06/02/2004
-
Pas de recours au Canada - 06/02/2004
-
Les médecins doivent montrer l’exemple - 03/02/2004
-
Pas assez de moyens pour ceux qui veulent arreter ! - 03/02/2004
-
La hausse des prix a du bon ! - 03/02/2004
-
Les nouvelles du jour - 30/01/2004
-
Altadis en grève - 29/01/2004
-
Le message de Ticky - 27/01/2004
-
« Cigarette écrasée, liberté gagnée ». - 27/01/2004
-
Corse et tabac, meme combat ? - 27/01/2004
-
Les buralistes frontaliers contre-attaquent - 27/01/2004
-
Pour ceux qui veulent s’arrêter - 26/01/2004
0 ...
2610
|
2625
|
2640
|
2655
|
2670
|
2685
|
2700
|
2715
|
2730
... 3525
Demande d’aménagement du décret
L’AFP indique que Richard Mallié, député UMP, a demandé hier un aménagement du décret interdisant de fumer dans les bars, restaurants et discothèques à compter du 1er janvier 2008. Affirmant que « cette interdiction pure et simple de fumer dans les lieux de vie est difficilement envisageable », le député s’appuie sur un récent sondage selon lequel 66% des Français sont favorables à des aménagements, pour estimer que « compte tenu de l’opinion des Français, il apparaît nécessaire d’aménager l’application prochaine du décret d’interdiction de fumer dans les restaurants, cafés, bars - tabacs et discothèques ».
D’après l’AFP, l’Union des professionnels du narguilé (UPN) juge « inapplicable » l’aménagement prévu pour les bars à chicha par le décret d’interdiction de fumer, à savoir l’installation d’un espace clos qui représentera 20% de la surface de l’établissement « puisque le narguilé nécessite en soi une prestation de service à laquelle s’ajoutent les prestations de consommations classiques ». Affirmant que ce décret entraînera « la mort » des salons à narguilé, l’UNP plaide « nos établissements font vivre 4000 salariés (...) et versent chaque année 35 millions d’euros de TVA à l’Etat ». D’après l’Union professionnelle ces bars sont « également un tremplin professionnel et social » car « ils ont donné l’opportunité à de nombreux jeunes, souvent issus de milieux défavorisés, de créer leur propre entreprise ».