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La prévention du tabagisme passif en France. - 17/01/2006
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Cancer du poumon chez la femme - 16/01/2006
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On fume dans votre bureau ? réagissez - 16/01/2006
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Le Chanteur Renaud se confie sur le tabac - 16/01/2006
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zoom sur le restaurant « le Caséus » - 16/01/2006
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Diffusion du reportage « Retenez votre souffle » - 16/01/2006
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sevrage : en 2006, j’arrêtte .. - 13/01/2006
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La campagne du CNCT a été retirée - 13/01/2006
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Les bars madrilènes résistent à la loi antitabac - 12/01/2006
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la loi s’est facilement imposée en italie - 11/01/2006
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INRS demande le retrait du spot pub du CNCT - 11/01/2006
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la Jonquera, Paradis du fumeur Français - 11/01/2006
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Campagnes de prévention
L’AFP et le Parisien indiquent qu’une campagne antitabac intitulée « le tabac, j’arrête, je respire » et accompagnée de consultations et de distribution gratuite de substituts nicotiniques va être lancée dans six des huit universités parisiennes en avril.
L’AFP rapporte que les 300 000 étudiants parisiens sont incités à s’alimenter de façon plus équilibrée et à s’arrêter de fumer au cours de deux campagnes qui vont être lancées en mars et avril dans les restaurants universitaires. L’agence souligne qu’une enquête de santé effectuée en 2002 par la mutuelle étudiante Smerep montre que les étudiants franciliens sont en proportion moins nombreux à fumer qu’en population générale mais que 25 à 30% d’entre eux sont fumeurs. Selon la directrice du service interuniversitaire de médecine préventive de Paris, dans les universités parisiennes « l’application de la loi Evin (…) n’est effective qu’ à Paris 2 (Assas) et Paris 9 (Dauphine) où il y a des vigiles » même si « partout ailleurs on constate une amélioration notable (…) mais difficilement quantifiable ».
Sous le titre « Etudiants mangez mieux, fumez moins ! » le Parisien s’intéresse à ces deux campagnes pour noter en ce qui concerne le tabac que « plus du tiers des étudiants franciliens fument » et que « 27% ont déjà fait une tentative d’arrêt ». Le journal précise que les consultations médicales mises en place fonctionneront toute l’année dans six universités parisiennes et qu’une première boite de patch sera offerte à ceux qui veulent s’arrêter « l’idée étant qu’avec l’argent économisé avec le premier lot de patchs, ils s’achètent la deuxième boîte », laquelle sera remboursée par la mutuelle Smerep.