- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources

Actualités
-
Le tabagisme passif ferait grossir - 06/11/2014
-
Budget de la sécurité social, ce qui va être voté - 28/10/2014
-
La cigarette électronique en milieu de travail - 27/10/2014
-
Le soda ferait autant vieillir que la cigarette - 24/10/2014
-
Londres pourrait devenir entièrement non fumeur - 15/10/2014
-
e-cigarette enceinte, quels risques ? - 09/10/2014
-
Les grandes dates de la lutte antitabac - 26/09/2014
-
fumer en voiture sera interdit en présence d’enfants - 26/09/2014
-
L’impact des paquets neutres - 25/09/2014
0 ...
510
|
525
|
540
|
555
|
570
|
585
|
600
|
615
|
630
... 3525
Arrêter de fumer par téléphone, c´est possible ! 
vendredi 25 octobre 2002, 10h00
Les assistances téléphoniques d’aide au sevrage tabagique qui prolifèrent aux Etats-Unis, seraient vraiment efficaces. C’est en tout cas ce que vient de montrer une expérience pilote menée en Californie.
Le Dr Shu-Hang Zhu et son équipe, de l’Université de Californie à San Diego, se sont intéressés à 3 300 fumeurs qui souhaitaient mettre fin à leur addiction grâce à une quitline. Tous un reçu un kit d’aide au sevrage avant d’être invités à rappeler un service d’assistance téléphonique s’ils en ressentaient le besoin.
Au bout d’un mois, un participant sur trois parmi ceux qui avaient profité des conseils en ligne était toujours abstinents. Parmi ceux qui n’y avaient pas eu recours cette proportion n’a pas excédé 9%… et les résultats ont été encore plus prononcés au terme d’un an d’essai. A ce moment en effet, 10% des sujets qui avaient recouru à l’aide en ligne n’avaient pas repris le tabac contre seulement 4% dans l’autre groupe. Des résultats finalement assez décevants, même dans le meilleur cas de figure… Rien ne vaut l’accompagnement direct d’un professionnel… et une solide motivation.
Sources : NEJM, Vol.347, n°14, 3 octobre 2002
(Destination Santé)