- Qui sommes nous ?
 - 
                        Droit & Loi
                        
                                
- Traités et Textes Internationaux
 - Législation Européenne
 - Législation Française
 
 - Information & documentation
 - Actions Judiciaires
 - 
                        Agir
                        
                                
- Dépôt de plainte
 - Questions-réponses
 - Conseils pratiques
 - Campagnes de Prévention
 - TERRASSE
 
 - Centre de ressources
 
- DNF vous permet de poser vos questions en ligne et d’obtenir une réponse personnalisée dans un délai très bref.
 - Vous posez une question concernant un problème lié au tabac dans un lieu déterminé et notre équipe d’experts répond à votre interrogation et/ou vous conseille sur les démarches à suivre.
 
Questions-réponses
- 
   Pour jouer au Loto sans fumée, comment faire ? - 24/03/2003
 - 
   Droit au travail - 21/03/2003
 - 
   Parly 2 - 21/03/2003
 - 
   Cinéma : en colère ! - 19/03/2003
 - 
   Arrêt maladie suite au tabagisme passif - 13/03/2003
 - 
   La loi EVIN dans les hôpitaux - 13/03/2003
 - 
   Protection des non fumeurs à la C.A.F - 13/03/2003
 - 
   Aide au dépôt de plainte - 12/03/2003
 - 
   SNCF - 12/03/2003
 - 
   Hôpital public : on fume au self du personnel - 12/03/2003
 
0 ... 
 5085
	|
 5100
	|
 5115
	|
 5130
	|
 5145
	|
 5160
	|
 5175
	|
 5190
	|
 5205
 ... 5505
Voir l'ensemble des questions
A-t-on le droit de faire l’apologie du tabac sur la première page d’un quotidien ? 
A-t-on le droit de faire l’apologie du tabac sur la première page d’un quotidien (le Parisien du 10/07/08) véhiculé de surcroit par une « chanteuse » et complété et réédité en pages 40/41 dudit journal ?
La photo représente madame Carla Bruni-Sarkozy une cigarette allumée à la main + une boite d’allumette pour confirmer .
La consommation de tabac, en France, n’est pas interdite
La représentation photographique, dans la presse, d’individus s’adonnant à la pratique du tabagisme, est, à ce jour, considérée comme une image normale de la vie quotidienne.
Le fait que les plus hauts personnages de l’Etat puissent se prêter ostensiblement à une telle mise en scène est assez odieux. Et cette provocation est d’autant plus méprisable qu’elle se situe à un moment où la lutte contre ce fléau de santé publique semble être enfin pris en compte par toute la population.
Soyez nombreux à demander à Xavier Bertrand et à Roseline Bachelot de se faire vos avocats auprès des provocateurs : ils le feront sans aucun doute.







