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le tabagisme ultra passif ou tabagisme tertiaire
les chercheurs de l’Université de York reviennent sur les risques pour la santé liés à la fumée tertiaire du tabac en mettant ici en évidence un risque accru de cancer chez les non-fumeurs et en particulier les jeunes enfants lié aux particules de la fumée déposées sur des surfaces du domicile. L’étude, présentée dans la revue Environment International vient contribuer aux données peu nombreuses sur les effets sur la santé de cette exposition tertiaire, non pris en compte dans les politiques publiques.
L’étude évalue pour la première fois, le risque potentiel de cancer selon le groupe d’âge par ingestion non alimentaire et l’exposition cutanée à la fumée de troisième main. Les scientifiques ont prélevé des échantillons de poussières de maisons occupées par des fumeurs et des non-fumeurs. À partir de l’analyse de la poussière, et des concentrations de nitrosamines spécifiques du tabac (NAST), des substances classées comme cancérigènes, les chercheurs ont pu, pour la première fois, estimer le risque de cancer.
La présence de composés cancérogènes dans la poussière : L’étude montre également pour la première fois la présence généralisée de composés cancérogènes issus du tabac dans la poussière de la maison, même dans des environnements aérés.