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la consommation de tabac chute à la réunion
Selon les derniers résultats de l’observatoire régional de la Santé (ORS) la consommation de cigarettes a encore chuté en 2007 à la Réunion pendant que les ventes de médicaments d’aide au sevrage tabagique ont explosé. Causant 555 décès par an, le tabac tue pourtant de plus en plus.
“Qui vit sans tabac n’est pas digne de vivre”, disait Molière dans la bouche de Dom Juan. Ce temps est fini. Le tabac est une drogue de moins en moins prisée socialement. Même Renaud, l’un des plus libertaires chanteurs français, exhorte dans ses textes à “arrêter la clope avant qu’elle n’arrête (s)ma vie”. Signe d’une société trop hygiéniste ? Rappelons seulement que le tabac est la première cause de décès évitable en France. Les Réunionnais l’ont bien compris et diminuent chaque année leur consommation. Ces dix dernières années, la vente des cigarettes a ainsi chuté de 36 %. 3,9 cigarettes ont été vendues par jour et par Réunionnais de + 15 ans en 2007 contre 6,1 en 1998 (voir graphique). Ce qui représente près de 830 millions de cigarettes mises à la consommation l’année dernière. La proportion de fumeurs est aussi en baisse, passant de 28 % de la population en 1999 à 20 % en 2003, dont 18 % de fumeurs réguliers. Comparés à la métropole, les Réunionnais sont toujours moins nombreux à fumer (30,5 % des métropolitains) mais consomment plus de cigarettes par habitant. Un comportement addictif que l’on observe également avec l’alcool. Augmentation de la fiscalité, interdictions de faire de la publicité ou de fumer (1), couverture médiatique, étiquetage comportant des avertissements sanitaires, aide à l’arrêt ou prévention… toutes ces politiques de santé publique ont concouru à une baisse de la consommation tabagique. Selon l’organisation mondiale de la Santé (OMS), accroître les prix du tabac par le biais de taxes plus élevées est, à lui seul, le moyen le plus efficace de réduire la consommation et d’encourager les fumeurs à arrêter. “Une augmentation du prix du tabac de 70 % permettrait d’éviter jusqu’à un quart de tous les décès liés au tabagisme dans le monde”, précise l’OMS.
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