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Etre payé pour arrêter de fumer .... - 20/08/2016
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cigarettes de contrefaçon
D’après LES ECHOS de lundi, en 2005, les cigarettes se sont hissées au premier rang des produits contrefaits, et Philipp Morris qui est le groupe le plus touché au travers de la Marlboro, a engagé une lutte systématique contre ce phénomène en plein essor. Le journal qui rappelle qu’en 2000, les Etats membres ont engagé une action auprès des instances européennes pour pouvoir lutter plus efficacement contre la contrefaçon, souligne que Philipp Morris déplore « A cette époque Bruxelles nous accusait de fraude au transport. On nous reprochait aussi de ne pas suffisamment contrôler nos clients ». Indiquant qu’en 2004 la firme a signé un accord avec la commission où elle s’engageait « à lutter techniquement contre la contrefaçon », le quotidien fait état des moyens mis en place par le cigarettier et notamment de celui qui semble le plus efficace : un code barre spécifique apposé sur chaque carton de 50 cartouches, qui comporte des données impossibles à reproduire dans leur globalité, permettant ainsi de tracer le produit du stade de la fabrication jusqu’à la vente.
A noter une interview de André Reiman, qui dirige le service anticontrefaçon de Philipp Morris et estime qu’il y a 20 milliards de cigarettes contrefaites de la marque dans le monde alors que la firme en produit 800 milliards, un trafic « extrêmement lucratif qui se chiffre aussi en milliers d’emplois perdus », sachant que la Chine arrive en tête dans ce trafic, suivie par l’Afrique. mais que l’on découvre aussi des usines de faux en Europe. Interrogé sur la dangerosité de ces cigarettes, il dit « aucune cigarette n’est inoffensive (...) Il y a dans les produits de contrefaçon systématiquement plus de cadmium, plus de plomb, de goudron et de nicotine, sans parler de toutes les substances étrangères à la fabrication du tabac ».