- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources
Actualités
-
La Belgique augmente ses prix - 05/01/2004
-
La guerre du tabac en Irlande - 05/01/2004
-
Des sites contre le tabac - 05/01/2004
-
Nouvelle hausse des prix du tabac - 05/01/2004
-
Au Mexique aussi, le prix des cigarettes augmente - 30/12/2003
-
Cigarettes : baisse des commandes et hausse des prix - 23/12/2003
-
New York fait encore parler d’elle... - 23/12/2003
-
Cancérologues et fiscalité unique en Europe - 23/12/2003
-
Baisse des ventes de cigarettes - 23/12/2003
-
Les fumeurs insultés par les cigarettiers - 22/12/2003
-
Le CSA contre le tabac - 22/12/2003
-
Les arguments de BAT - 22/12/2003
-
L’Allemagne devant la Cour Européenne de justice - 22/12/2003
-
Moins de 18 ans : A vos crayons ! - 22/12/2003
-
« Opuscule dadaïste » - 22/12/2003
0 ...
2670
|
2685
|
2700
|
2715
|
2730
|
2745
|
2760
|
2775
|
2790
... 3525
Un patron de bar commence une grève de la faim
Un patron de bar déclare son bar fumeur et se fait par conséquent sanctionner. Il viole la loi de protection contre le tabagisme publiquement et entame une grève de la faim en se dressant comme victime....
Patron du bar « Le Club », Emmanuel Galante, qui a déclaré son bar fumeur, a entamé depuis hier une grève de la faim. Il proteste contre le libellé des accusations portées contre lui…
« J’AI décidé de cesser de m’alimenter, et même mes problèmes de cœur ne me feront pas renoncer ! ». Même pas une cacahuète à se mettre sous la dent, et uniquement de l’eau à glisser dans son gosier. Depuis hier, Emmanuel Galante, patron du bar « Le Club », cet établissement déclaré non-fumeur depuis plusieurs semaines, qui se bat pour un aménagement du décret de la loi antitabac, a décidé d’entamer une grève de la faim. Chaque jour, tant que sa santé le lui permettra, il changera lui-même l’éphéméride de son combat, apposée sur la vitrine de son établissement. Tant que sa santé lui permettra, chaque jour également, il ouvrira comme d’habitude à ses clients, dès 16 heures : « Tous les soirs, après ma journée de travail je remonterais chez moi. Quand je serais trop fatigué, je finirais sans doute par dormir en bas, sous une couverture ».
Lire l’article complet sur le site de l’union http://www.lunion.presse.fr/index.p...