- DNF vous permet de poser vos questions en ligne et d’obtenir une réponse personnalisée dans un délai très bref.
- Vous posez une question concernant un problème lié au tabac dans un lieu déterminé et notre équipe d’experts répond à votre interrogation et/ou vous conseille sur les démarches à suivre.
Questions-réponses
-
Comment obtenir des affiches ? - 21/10/2004
-
Fumer sur le lieu de travail - 20/10/2004
-
faire connaitre un restaurant non-fumeur - 20/10/2004
-
Tabagisme passif en entreprise - 20/10/2004
-
Marketing - 19/10/2004
-
Enfumée au bureau - 18/10/2004
-
Enfumée dans un bureau - 18/10/2004
-
Restaurants non-fumeurs en Alsace - 16/10/2004
-
Enfumée au travail - 15/10/2004
0 ...
4440
|
4455
|
4470
|
4485
|
4500
|
4515
|
4530
|
4545
|
4560
... 5505
Voir l'ensemble des questions
Tous mes employés arrêtent de travailler au mois dix fois par jour pour fumer
Bonjour, je suis gérant d une brasserie et tous mes employés arrêtent de travailler au mois dix fois par jour pour fumer. En ont-ils le droit ?Article L. 212-4 du code du travail : "La durée du travail effectif est le temps pendant lequel le salarié est à la disposition de l’employeur et doit se conformer à ses directives sans pouvoir vaquer librement à des occupations personnelles. Le temps nécessaire à la restauration ainsi que les temps consacrés aux pauses sont considérés comme du temps de travail effectif lorsque les critères définis au premier alinéa sont réunis....."
Quitter son poste de travail pour aller fumer est bien « Aller vaquer à une occupation personnelle ». Or le principe de la pause cigarette n’existe dans aucun texte législatif ou règlementaire officiel, et, la pause ne peut être accordée qu’à l’ensemble du personnel de même catégorie sinon elle prendrait un caractère discriminatoire.
En dehors de la pause méridienne longue qui n’est pas considérée comme un temps de travail et permet donc de « vaquer à ses occupations personnelles », une coupure dans la matinée et une dans l’après-midi répondent donc idéalement à cette problématique quand l’organisation du travail le permet. Ces pauses peuvent être considérées comme temps de travail lorsque les critères définis au premier alinéa de l’article L. 212-4 du code du travail sont réunis.