- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources
Actualités
-
F1 : L’écurie BMW lance une campagne antitabac - 30/08/2004
-
Japan Tobacco contraint à la faillite - 27/08/2004
-
Haro sur toutes les cigarettes ! - 27/08/2004
-
L’oeil sensible au tabac - 27/08/2004
-
OFT souhaite faire retirer du marché les NTB - 26/08/2004
-
Un budget à la hauteur des ambitions de l’INPES - 24/08/2004
-
Les trentenaires fumeurs exposés à de gros risques - 24/08/2004
-
Altria menacé de procès - 17/08/2004
-
Québec attaque Japan Tobacco - 17/08/2004
-
LFP : Expulsion des entraîneurs fumeurs - 13/08/2004
-
Irlande : Sondage sur la loi antitabac - 13/08/2004
-
Suisse : Un virus s’en prend au tabac - 12/08/2004
-
Quand fumer ne tuait pas. - 12/08/2004
-
A la recherche de la cigarette miracle - 11/08/2004
0 ...
2385
|
2400
|
2415
|
2430
|
2445
|
2460
|
2475
|
2490
|
2505
... 3525
Tabagisme passif : une culpabilité prouvée !
Les chiffres sont formels, le tabagisme passif tue. La fumée des autres augmenterait en effet de 15% le risque de décès des non-fumeurs qui partagent la vie de fumeurs. Et l’instauration de lieux non-fumeurs diminue réellement le nombre d’infarctus du myocarde !
Deux nouvelles études viennent rappeler une fois encore les dangers du tabagisme passif. L’une s’est intéressée au risque de décès de personnes vivant avec un ou plusieurs fumeurs, comparées à d’autres sujets qui ont la chance de vivre dans un environnement « sain ». Résultat, si vous respirez quotidiennement la fumée de votre conjoint ou d’un collègue, vous augmentez votre risque de décès de 15%.
Un autre travail mené dans le Montana, aux Etats-Unis, a comparé la fréquence des hospitalisations pour infarctus du myocarde avant, pendant et après une interdiction de fumer dans les lieux publics, promulguée et appliquée de juin à décembre 2002. Le résultat est frappant. Avant et après la période d’interdiction une moyenne de 40 infarctus a été enregistrée dans la population de la ville. Et durant les 6 mois d’interdiction, ce chiffre est tombé à 24. Rien de comparable n’a été observé dans les villes voisines, qui n’avaient pas appliqué cette mesure. Plutôt convaincant, non ?