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44 % des étudiants sont prêts à arrêter de fumer - 21/10/2016
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Faites signer l’appel des 100 000 - 14/10/2016
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smokittent le jeu pour arrêter de fumer - 14/10/2016
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Mois sans tabac : un kit à disposition - 11/10/2016
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Les philippines veulent en finir avec le tabac - 10/10/2016
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Deux cancers sur cinq sont évitables - 30/09/2016
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Les adolescents fument et boivent moins - 22/09/2016
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Tableau de bord de l’OFDT en ligne - 07/09/2016
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Les espaces de jeux pour enfants sont sans tabac - 24/08/2016
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Tabac : lancement d’une grande enquête - 23/08/2016
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Etre payé pour arrêter de fumer .... - 20/08/2016
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Tabac, hypertension et diabète : le cocktail du déclin cognitif
Si on savait parfaitement que ces facteurs augmentaient le risque cardiovasculaire, une équipe de chercheurs s’est penché sur leur impact sur le cerveau.
« Il semble que ces facteurs de risque entraînent à la fois une perte de volume et le développement de lésions au niveau du cerveau. Ils affecteraient la capacité des malades à se projeter dans l’abstrait, à faire des plans (d’activité par exemple) et à prendre des décisions », expliquent les auteurs. Leur travail, mené sur 1 352 personnes exemptes de démence au début de la période de suivi et d’un âge moyen de 54 ans, s’est prolongé pendant plus de 7 ans. »
Destination santé développe sur les résultats de l’étude : le développement de zones blanches et/ou de lésions vasculaires du cerveau a été plus rapide chez les participants dont la pression artérielle était supérieure à la normale que chez les autres.