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Tabac Actualité n°46 - 27/02/2004
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Tabac et alcool en question - 24/02/2004
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Les britanniques jouent la carte du dégout - 17/02/2004
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Tabac et entreprise
Sous le titre « Les fumeurs sevrés par l’entreprise », le PARISIEN EMPLOI souligne qu’à l’approche de la date « fatidique » du 1er février, de nombreux fumeurs envisagent l’arrêt du tabac et que dans certains cas le programme est pris en charge par l’entreprise. D’après le journal, depuis quelques temps déjà de nombreux salariés se voient proposer par leur employeur des programmes d’aide à l’arrêt du tabac notamment à base de thérapies comportementales qui font prendre conscience de la dépendance et aident à modifier les habitudes. Selon un responsable de ces programmes, ils « créent une forme d’émulation parmi les salariés » et selon un autre responsable « dans les groupes les hiérarchies sont mélangées. C’est très positif ». Le quotidien qui relève que dans certains cas un fumeur est parrainé par un non fumeur, estime que dès lors « le ennemis d’hier se serrent même aujourd’hui les coudes dans une démarche commune, avec comme conséquence indirecte une meilleure cohésion au sein de l’entreprise ». Affirmant que les DRH ont bien compris les avantages de telles actions qui permettent d’enterrer la hache de guerre entre fumeurs et non fumeurs et de limiter les pauses cigarettes qui nuisent à la productivité, le Parisien souligne qu’ils sont devenus les premiers interlocuteurs des cabinets spécialisés, loin devant les médecins du travail.
François Klein qui donne « l’avis du coach » estime qu’aujourd’hui se mettre « au ban de la communauté des « gens sains » » devient « infernal » et qu’il a pris la bonne résolution d’arrêter de fumer, sachant dit-il que « personne n’y croit » et « surtout pas moi ». Il évoque toutefois « un truc » soufflé par les psychologues de l’école de Palo Alto (Californie) qui pourrait lui être utile à condition d’être motivé pour arrêter : « si par malheur il arrive de craquer pour une cigarette en fumer dix de mieux à la suite. Pas une de moins, pas une de plus. Cela revient à soigner le mal par le mal ».