- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources
Actualités
-
La campagne des débitants de tabac - 17/03/2004
-
Pleins les yeux - 17/03/2004
-
Vivre sans tabac - 17/03/2004
-
La dépendance : comment ça marche ? - 15/03/2004
-
Les combats de Claude Got - 15/03/2004
-
Accro jusque derrière les barreaux - 15/03/2004
-
Le tabac au cinéma controversé - 15/03/2004
-
La polémique Altadis - 15/03/2004
-
Campagnes de prévention - 15/03/2004
-
Le sevrage à l’honneur - 15/03/2004
-
Fumeurs en rébellion - 15/03/2004
-
Le Zyban en question - 15/03/2004
-
Le tabac interdit aux moins de 16 ans au Danemark - 15/03/2004
-
Les nourrissons aussi - 08/03/2004
0 ...
2565
|
2580
|
2595
|
2610
|
2625
|
2640
|
2655
|
2670
|
2685
... 3525
Substituts nicotiniques : moins efficaces sans accompagnement !
D´après une étude menée par John Pierce, de l´ University of California à San Diego, les tentatives de sevrage tabagique sont en considérable augmentation. Tout comme le recours aux substituts nicotiniques, ce qui est somme toute logique ! Toutefois, ces produits lorsqu´ils sont disponibles en vente libre ne semblent pas si efficaces, tout du moins à long terme. Au cours des 7 dernières années, le nombre des candidats au sevrage a augmenté de 60% et les ventes de timbres, gommes ou spray à la nicotine ont été multipliées par deux !
Des chiffres encourageants... à première vue. Il paraît cependant que le recours aux substituts nicotiniques donne des résultats inégaux, en fonction des conditions dans lesquelles ils sont utilisés. Certes le taux de succès à court terme paraît en augmentation notamment aux extrêmes du tabagisme : gros fumeurs et fumeurs modérés. D´après John Pierce cependant, « nous avons constaté que l´intérêt à long terme des timbres et autres gommes à mâcher contenant de la nicotine était plus significatif quand ces produits étaient prescrits par un médecin. » C´est-à-dire avant 1996 aux Etats-Unis, et avant 1999 en France.
Le soutien et l´accompagnement du médecin étaient apparemment déterminants pour les chances de succès du candidat au sevrage. C´est désormais le rôle du pharmacien, du moins en France, mais il n´est pas certain que ce dernier y consacre toujours le temps et la disponibilité nécessaires !
Source :JAMA, 10 septembre 2002