- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources
Actualités
-
« Tout est bon pour arreter de fumer » - 17/02/2004
-
« Expertise collective de l’Inserm » - 17/02/2004
-
« Les mystères de la dépendance » - 16/02/2004
-
1,8 million d’ex-fumeurs - 16/02/2004
-
Les brèves du jour... - 16/02/2004
-
Le Zyban l’emporte haut la main - 16/02/2004
-
Altadis et ses salariés - 13/02/2004
-
Ce qui rend accro - 13/02/2004
-
Un test urinaire pour évaluer le tabagisme passif - 12/02/2004
-
Le Parlement ne respecte pas la loi anti-tabac - 12/02/2004
-
Expertise collective de l’Inserm - 12/02/2004
-
Interdiction du tabac dans les lieux collectifs - 10/02/2004
-
Recensement des livres sur le tabac - 10/02/2004
-
Cancérologues et lutte contre le tabagisme en Europe - 10/02/2004
0 ...
2595
|
2610
|
2625
|
2640
|
2655
|
2670
|
2685
|
2700
|
2715
... 3525
Rejet d’un amendement visant à assouplir la loi Evin
Les anti-tabac peuvent souffler. La commission mixte paritaire (CMP) du Parlement n’a pu trouver d’accord, mercredi 6 juillet, sur un projet de loi relatif à « la répartition des contentieux et l’allègement de certaines procédures juridictionnelles ». Parmi les multiples dispositions concernées par ce texte – qui devra donc être réexaminé ultérieurement par le Parlement – figurait notamment la possibilité d’une réduction du montant des amendes contre les fumeurs dans les lieux publics.
« Je suis ravi qu’on soit revenus à la raison. Le contraire aurait été effrayant et aurait constitué un recul de trente ans dans la lutte anti-tabac », a déclaré au Monde.fr Gérard Audureau, président de l’association Droit des non-fumeurs (DNF) et secrétaire général de l’Alliance contre le tabac.
En cause, l’article 22 quater, qui aurait permis de « transiger sur les infractions liées au fait de fumer dans les lieux à usage collectif ». En clair, il aurait permis au contrevenant d’éviter les poursuites pénales, grâce à une transaction à l’amiable. L’article précisait notamment que, dans ce cas, « l’amende transactionnelle que l’auteur de l’infraction doit payer ne peut excéder le tiers du montant de l’amende encourue », soit 45 euros au lieu de 135 euros.
Source : le Monde.fr Lire la suite de l’article