• DNF vous permet de poser vos questions en ligne et d’obtenir une réponse personnalisée dans un délai très bref.
  • Vous posez une question concernant un problème lié au tabac dans un lieu déterminé et notre équipe d’experts répond à votre interrogation et/ou vous conseille sur les démarches à suivre.

 

Questions-réponses

Qui êtes vous DNF ? Imprimer la question

Qui êtes vous DNF ? De quel droit pouvez-vous vous imposez dans la vie sociale des gens ? Qui mandate votre action et quels sont vos soutiens ? 10personnes ; 20 ; 1million. Je suis étonné de voir votre organisation solliciter les gens à la dénonciation, ça me rappelle de actes morbides de notre histoire.

Je viens d’arrêter de fumer depuis 2 mois et je n’ai pas changé mon attitude pour autant envers les fumeurs. D’ailleurs quels sont les fumeurs ? Les voitures, les usines, les personnes consommant des clopes ?

Merci de m’informer

Réponse :

DNF est une association sans but lucratif dont l’objet principal est d’obtenir que les non-fumeurs puissent avoir une vie sociale normale sans avoir à être confrontés au tabagisme des autres dans des conditions illégales.

DNF est reconnue de mission d’utilité publique et, au delà de ses adhérents et de ses sympathisants, elle est soutenue par différents ministères ou instituts qui lui allouent des subventions à l’occasion d’appels à projets.

Pour dénigrer notre action, il est courant que l’industrie du tabac instrumentalise des individus ou des groupements en leur donnant pour mission de propager des slogans plus ou moins nauséabonds à l’encontre de ceux qui luttent pour limiter les effets très néfastes du tabagisme. Même si vous n’en êtes pas conscient, votre discours est tout à fait fidèle aux arguments de cette entreprise de désinformation. En effet, les « actes morbides de l’histoire », « la dénonciation » (confondue, à dessein, avec la délation) seraient, à vous lire, le moteur de nos actions alors que nous nous contentons d’aider les innombrables victimes, souvent captives, qui ont illégalement subi le tabagisme pendant de longues années. Ne pas leur donner la possibilité d’obtenir légalement le droit à respirer reviendrait à accepter définitivement le retour du terrorisme tabagique pour lequel vous semblez réclamer la loi du silence, l’omerta.

Tenter de minimiser la dangerosité du tabac en alléguant que l’on ferait mieux de s’occuper de la pollution des usines ou des véhicules relève de la même dialectique stérile.

GA 

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