DNF a, au cours de l’année 2003, questionné à 3 reprises le Centre de Renseignements des Douanes d’Ile-de-France sur l’existence illégale des cafés-chicha. Il lui a été répondu le 10 février 2004 que l’on était au courant mais que ...

Le 26 mai 2006 une plainte officielle était déposée entre les mains du procureur de la République de Paris contre 3 bars à chicha en demandant d’élargir cette plainte à l’ensemble des établissements existants. Copie de cette plainte était également expédiée aux ministres de la Santé, de l’Intérieur, des Finances, de la justice, du commerce et du travail. Par deux fois, en septembre et en décembre 2006, il était demandé au Procureur de nous tenir avisés de l’évolution de cette plainte : Aucune réponse, à ce jour, ne nous est parvenue.

L’inconséquence des pouvoirs publics et de certains responsables politiques n’a donc rien à voir avec les élections actuelles. Bien au contraire, il semblerait que les agents chargés du contrôle se préoccupent de ce problème avec rigueur et compréhension, ce qui ne nous choque pas. En effet, ces établissements peuvent, avec difficulté certes, tenter de se mettre en conformité ou de retourner à leur activité première qui est le bar, le salon de thé ou le restaurant, et il faut les y encourager.